Pour accéder, publier, gérer les textes sur mon blog, dois-je acquérir un microscope???
Tout apparaît en format si minuscule que les loupes X 4 ne permettent pas de discerner ce qui est
écrit….
Pour accéder, publier, gérer les textes sur mon blog, dois-je acquérir un microscope???
Tout apparaît en format si minuscule que les loupes X 4 ne permettent pas de discerner ce qui est
écrit….
Voici venu le temps du règne du plus fort
Il était de bon ton de se voiler la face
Pour Crimée, ben voyons, un tour de passe-passe
Sous d’autres horizons, vieilles culpabilité
Exactions faisaient oublier….
Ce que tu as me plaît, je m’en empare
Si tu veux protester prends garde car je mors
Un geste de résistance, et je détruis tout , GARE!
Je prends le Groënland, et aussi Panama
Pourquoi pas le Mexique , annexer le Canada
Au nom de vieilles histoires, la liste immorale
Des oppressions s’allonge, progression du MAL…
Ah! Mais ce n’est pas encore assez:
L’Autre veut occuper Mars
On pourrait dire « passez! »
Il s’agit d’une farce…
Mais, hélas
(inspiré par « Presque voix Canalblog » 8 janvier 2025)
Il n’avait pas grand chose:
Un chien berger
Pour se réchauffer
Ce fut évidemment la cause
De son premier désarroi
Trouver punir l’être sans foi
Qui avait mis à mort
Son compagnon de triste sort,
Puis de son incarcération…
De toutes façons
Après le décès de son chien
N’avait plus rien
Alors, ma foi, la prison,
C’était un toit et la croûte,
Et même un gentil maton…
Sortir pour lui quelle déroute!
Quelle qu’en soit l’origine,
Libre à chacun, dans ses croyances,
De voir une intervention divine
Dans la main tendue en urgence
Ceci est un mauvais rêve:
Disparaître sans laisser de trace
Ce serait, en somme, faire grève
En laissant vide sa place.
Disparaître sans laisser de trace…
Le silence ne gêne personne.
En laissant vide sa place?
Beaucoup vont la trouver bonne
Le silence ne gêne personne
Même pas questions en coulisse
Beaucoup vont la trouver bonne
Trouveront d’autres sévices…
Même pas questions en coulisse
Mieux vaut sonner les trompettes,
Trouveraient d’autres sévices
Du fond du val jusqu’aux crêtes
Mieux vaut sonner les trompettes
Le tocsin, faire charivari
Du fond du val jusqu’aux crêtes
Les salauds seront marris
Le tocsin, faire charivari
Pour clouer au pilori
_ Les salauds seront marris_
Leurs actes vraiment pourris.
Chasse à courre? Quoi?
Vous dites JOIE,
Dans la nature qui verdoie?
Pure violence
Dégénérescence
Obsolescence…
Pour animaux ensauvagés…
Les chiens lancés
Vont régresser.
Quand le chassé
Meurt épuisé
C’est jouissance dépravée.
Se délecter
De la curée
Pouah! Quelle nausée!
Autrefois,
Pour préparer le repas,
Il fallait trier les lentilles
Cela occupait, ma foi,
En les gardant toujours là,
Les enfants de la famille.
Autrefois
En revenant du jardin
Ce sont les pois qu’on écossait
On n’était pas trop de trois
Avec de petites mains
Pour en vider le gousset
Autrefois
Quand les grands jouaient à belote
Les enfants marquaient les points
Ne comptaient pas sur les doigts
Des baguettes avaient la cote
L’abstraction vient donc de loin.
Autrefois
Quand il faisait froid
On tricotait des chaussettes
Cela déliait les doigts
Blottis près du feu de bois
Pieds posés sur une briquette.
A la ferme, dans mon enfance,
Il y avait une chienne noire.
Parce qu’elle se faufilait, je pense
Entre les gerbes et le pressoir,
On l’appelait « La Roulette »
Elle vivait avec la famille,
Léchant les mains, gardant les bêtes,
Couchée souvent, paisible fille,
Près du fauteuil de la grand-mère.
Ma soeur devait avoir trois ans
A l’affût d’essais élémentaires
Marcha une fois innocemment
Sur la queue poilue…Haou! Haou!
Aboya la chienne… « Je marche, hou, hou
Sur la queue de la Roulette »
Reçut un coup de dent de la bête…
Horreur et damnation!
Elle l’a mordue!
Elle l’a mordue!
Personne ne fit la mention
Que la fille l’avait provoquée.
Chez des adultes fut exilée.
(inspiré par une image FB)
1948
Chemise blanche cravate et chapeau ,
Je ne leur faisais pas confiance:
Certes, ces messieurs portaient beau,
Mais ne nourrissaient pas la France.
Ce n’était pas eux
Qui, aux champs, menaient les boeufs,
Ou, qui, au fond de la mine,
Maniaient pic et pelle
De la suie plein les aisselles.
Pour chauffer le four des usines.
De nos jours:
Bonnet, barbe, vêtements chamarrés,
Attitude décontractée,
C’est la mode d’un moment,
N’a au moins pas l’ambition
De prendre le commandement…
Ne cherche nullement d’être autre chose
Qu’un divertissement…
Pardon, toi qui me lis, si dans mon radotage
Bien trop souvent surgit la rancoeur de mon âge:
Les mots qu’ainsi j’éructe, tout frais, sortis des tripes,
Se soucient fort peu d’être vêtus de nippes…
Combien trop d’adjectifs, mal placés de surcroît?
Combien de pléonasmes surchargent le charroi?
Mon ignorance crasse pollue sublimes mots
Et même des clichés ont pondu des marmots…
Je ne suis qu’un manant, égaré dans ton monde
Lançant comme excréments de « tocs » vers immondes…
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Je n’ai pas ce talent!!! Victor Hugo SALUT!!!
Oui, si Beauzée est dieu, c’est vrai, je suis athée.
La langue était en ordre, auguste, époussetée,
Fleur-de-lys d’or, Tristan et Boileau, plafond bleu,
Les quarante fauteuils et le trône au milieu ;
Je l’ai troublée, et j’ai, dans ce salon illustre,
Même un peu cassé tout ; le mot propre, ce rustre,
N’était que caporal : je l’ai fait colonel ;
J’ai fait un jacobin du pronom personnel ;
Dur participe, esclave à la tête blanchie,
Une hyène, et du verbe une hydre d’anarchie
À découvrir sur le site https://www.poesie-francaise.fr/victor-hugo/poeme-reponse-a-un-acte-d-accusation.php
(inspiré par Presque voix Canalblog 4 janvier 2025)
Se trompent ceux qui croient
Qu’Il va, dans son effroi
Leur poser question de foi
Dans le pays et dans ses lois …
Le micro reflet de Bonaparte
Dont beaucoup rêvent qu’il parte
Pense brouiller les cartes
En proposant nouvelle charte.
Mais la nymphe ne fait pas rêver
Et la carte où la larve a bavé
Le peuple qui se sentira bravé
Dira 2005 n’est pas lavé…
Sachant que référendum
Est une affaire de vrais hommes
(Si tu refuses ma pomme
J’en déduirai : »Go home! »)
Ne voyant là qu’un plébiscite
Hurlera : »NON! Pars bien vite »
Et fidèle absolument
Au coup d’Etat permanent
Il s’accrochera aux haubans
En espérant la fin du vent…
(Voici la mûre réflexion
Certes peut-être un peu brutale,
Qui détermina l’action
Du Président de l’Assemblée Nationale)