Ecrivaillon.
Je ne suis pas Lamartine
Je ne suis pas Jean Giono
Je ne suis pas Courteline
Encore moins Victor Hugo.
Lorsque j’écris c’est le signe
Que les mots vont m’étouffer
Et tant pis s’ils sont indignes
De passer à la postérité!
Quand je les jette à la volée
Comme semeur sème le blé
En aucun cas ne me soucie
Qu’écrit dimanche soit là mardi.
Mais pourtant l’hymne à la jeunesse
Garde à vie toute ma tendresse.
Cet article a été posté le Vendredi 28 octobre 2016
Il vaut mieux être que ne pas être. Joli, jeter les mots à la volée, un mouvement qui donne aux phrases leur ligne particulière.
Merci!