Après journées difficiles
De santé plutôt fragile,
En quittant le médecin,
J’eus envie de de vivre un brin.
Puisque la banque était proche
Trouver de l’argent de poche…
Le guichet était ouvert,
Je glisse dans l’orifice offert,
Sans caresses mais sans violence
C’est ainsi qu’on recommence
Ma carte de retrait bancaire
Le robot me fait lanlaire
Un geste un peu bizarre,
Qui me la renvoie dare dare…
Me voilà un peu pantois:
Autre guichet , trop loin pour toi…
Pour le bercail au retour
Autre essai je joue mon tour…
Même visage impassible
Avant renvoi insensible…
Diable! Un Satan invisible
Aurait-il fait l’impossible
Pour bloquer avant décès
Mes dépenses en excès??
Le ministre des Finances
Subodorant mon absence
Sans hésitation, sans honte
Bloquerait-il déjà mon compte??
Pour la cliente suivante,
Tout va bien, situation étonnante.
A la banque, éberlués,
Vers un service on m’envoie
Lequel guichet ayant évalué
Sans rien faire me renvoie Et voilà que deux jours plus tard Je découvre
Il semble qu’une grosse panne touche de nombreux services bancaires depuis quelques heures, notamment le CIC et le Crédit Mutuel.
Si ces deux banques paraissent les plus touchées, DownDetector indique qu’elle semble bien plus large et que de nombreuses banques françaises comme la Banque Populaire, la BNP Paribas la Société Générale ou encore la Caisse d’Épargne et la Banque Postale soient touchées. Autrement dit la majorité des établissements français. De nombreux témoignages sur X ainsi que sur d’autres réseaux sociaux font aussi état de soucis de paiement.
A croire la phonétique,
L’herbe naturelle qui croît sur ces terres
Ne convient pas aux laitières.
Mais…
Il y a Chasselay
Dans le département du Rhône
Celui où chaque printemps
La fête des cerisiers trône
Et aussi, moins important,
Chasselay dans l’Isère
Qui apporte son comptant
Aux productions nucifères.
Les ruraux depuis toujours
Ont su faire, avec amour,
Fructifier la terre nourricière
En s’adaptant à son caractère.
C’est que je viens de revoir à la télé le ministre qui fut concerné. D’Ibiza où il se fit mieux connaitre, serait-il revenu à pied?
Ce syndicat lycéen, créé en 2018 pour soutenir la réforme du baccalauréat de l’ex-ministre, avait reçu du ministère une subvention de 65 000 euros, dont 43 000 euros pour organiser un congrès fondateur. Mais une enquête de Mediapart révélait en novembre 2020 que les responsables du syndicat avaient dépensé en quelques mois 80 % de la subvention en notes de frais dans des restaurants gastronomiques, des hôtels cinq étoiles ou pour l’achat de montres connectées. Quant au congrès fondateur, il n’a jamais eu lieu.
Gardons-nous de vains mépris:
Ils étaient, sûr, bien élevés,
Certainement bien habillés
Et faisaient comme on leur apprit.
D’ailleurs, à la même époque,
Pour ceux qu’aujourd’hui cela choque,
Là où un maillot de sport dérangeait
De sacrées ripailles se déroulaient* . *Les homards de M. D. R.
Elevés dans le culte d’apparence
N’ont pas trahi leurs obédiences
Ne pouvaient quand même se mêler
A la populace dépenaillée!
Lorsque l’on a, dès l’enfance
Fréquenté les milieux huppés
A Ibiza plutôt qu’en France
Il est possible de se tromper!
Cet article a été posté le Samedi 23 décembre 2023
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Bonjour à tous! merci pour votre passage.
(inspiré par « Presquevoix Canalblog 29 août 2025)
Pour la troisième intervention,
Sur plainte de maris d’amants,
Avant grave révolution,
Il était temps!
Les amatrices ,amateurs gourmands
Se bousculaient ent l’attendant.
(Même la femme du commandant
Avait pris place dans le rang!)
Quand la nouvelle s’était répandue
Les fantasmes secrets aiguisés
Tout « bien moral » avait fondu
Les besoins secrets de « bordeliser »
En trois jours avaient ressurgi…
Et la rigueur de la sanction
N’était que l’image rabougrie
Du désir jaloux d’extermination
Heureusement bloqué par l’uniforme
Ramené à un mot: « LA NORME »
Pour me délivrer des soucis
Ils sont venus s’y sont tous mis
Le foin à emmener au logis,
En une remorque est parti
Emporté rangé en bonne place
Mon C4coupé, tour de passe passe
Est maintenant devant la maison:
Inutile plus que de raison
De se lamenter pour l’avenir.
Fermons les yeux,
Laissons venir
Que pourrais-je faire de mieux?
On prétend féminin privilège
Que mener de front deux tâches de déesses
Tant pour les étoiles qui des cieux nous protègent
Que pour ravir nos yeux, divines poétesses,
Vous savez toutes, avec délicatesse
Réussir le miracle, qu’il vente ou qu’il neige!
Pourquoi la cour de la ferme ancestrale
Est-elle aussi ombragée?
Non! Ce n’était pas pour des bals,
Des rencontres d’une journée
C’est qu’aux temps des fenaisons,
Au moment de délier les vaches
Lorsque les taons à foison
Bourdonnaient, un joug qu’on arrache
Pouvait devenir arme létale .
J’ai donné à chacun une pioche
Pioche-pic capable d’entamer la roche
D’un oeil un peu incrédule
M’ont déclaré « C’est la canicule »
J’ai donné à chacun une pelle
Pour un trou, me paraissait belle,
Ils ont secoué la tête:
« Ce vieux comme il peut être bête »
Sur les plans de la ferme,
Il existe un lieu choisi
Pour enfouir, venu le terme
Ont crié « C’est tout moisi! »
Les fossoyeurs sont en grève
Tant pis pour les projets bizarres
Ceux qui parlent de trêve
Se moquent des circonstances rares.