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Archive pour février 2025

Contrôles

Samedi 8 février 2025

Éric Piolle propose de soumettre les élus et ministres au dépistage de drogue

Article de Par Juliette Vignaud
 Je n’approuve pas souvent
………………………….!………….!………..!
Ce Maire d’une ville qu’il prétend
………………….!!!……….!!!………….!!!…….
« Apaisée »? Ouais… Moribonde!
……………??………………!!!…………………………
Mais qu’aux yeux de tout le monde
……………….!……………..!……….!…………..
On publie les résultats
………………..!!!…………….!!!…………………..
D’un contrôle de consommation
……………..?.?……?..?………….???………………..
Par les nobles potentats
…………!!!…………!!!……………..!!!………..
Chargés de gérer la Nation,
………………..!!!………..!!!………………….
D’organiser la répression
……!!!!!!………..!!!!!…………………!!!!!…………..
Des trafics de narcotiques
………………!!………!!…….!!………………
On comprendrait sans doute,
??????????????????????????????????????
Quelles aides sur leur route
…………..???????????????…………………..
Quels soutiens insoupçonnés
…………….??????????????????????……………..
Leur permet de prospérer.
??????????????????????????????

La recherche de sérénité

Vendredi 7 février 2025

Dans les temps profondément perturbés,

Mercure semblant partout régner,

Mille gourous, coatchs ou prêcheurs,

Moyennant stages de de « haute valeur »,

Promettent aux gogos en détresse

D’atteindre des nirvanas célestes

Ces moments plus ou moins sadiques

Sports, privations, invocations extatiques

Ne cherchent qu’à parfaire _ politique _

Le besoin hautement narcissique

De se consacrer à sa propre personne,

Alors que bonheur est celui que l’on donne.

La mode, donc, tourne les regards

(Religions d’Occident c’est ringard)

Vers des sourates, des mantras,

Pour suivre sûrement son karma…

Ah! La fourberie des charlatans,

Pour servir les besoins patents

Des despotes du moment

Qui savent que le plus important

Est que le peuple contemple son nombril 

Plutôt que les mettre sur le gril

Ce fut de tous temps, rôle de religion

Par prières, psaumes, peintures, mission .

(inspiré par « Presquevoix Canalblog 4 février 2025)

Autour de Grenoble

Jeudi 6 février 2025

 

Si tu viens, pour tes études,

Vivre quelques temps à Grenoble

Pour meubler tes interludes

En dehors de travaux d’escoble,

Tu pourrais pas loin de la ville

Découvrir des lieux historiques

Aller faire un tour à Vizille

Suivre la route Napoléon

Et sur le champ de la rencontre

Fermant les yeux un moment long

Voir les soldats à qui IL démontre

« Soldats voici votre empereur

Si vous voulez le tuer, tirez droit au coeur »

…………………………………………..

Pour te distraire aussi, si loin de ta famille,

Tu pourrais grimper sur les flancs de Bastille…

Chercher à visiter une usine

Aux grottes de Sassenage, rencontrer Mélusine….

 

Passage à vide

Mercredi 5 février 2025

Parfois, devant la page blanche,

Comme un paysage blanchi

Par une récente avalanche

On se sent complètement démuni.

C’est le silence de la vieillesse

Redoute-t-on dans la détresse.

On broie le noir de l’impuissance, 

Enseveli dans la mouvance

L’esprit ramène à la mémoire,

Enjolivés par le souvenir,

Les fiers moments de la gloire.

On fait une croix sur l’avenir…   

Ceci n’est qu’un passage à vide,

Quand chaque page devient bide,

On se croit au fond du ruisseau…

Mais… Une étoile, et tout devient

 

                    beau! 

 

N’avait pas cessé de la trouver belle

Mardi 4 février 2025

(inspiré par Presque voix Canalblog 1/02/2025)

Autrefois, sa beauté sublime

_ Selon les avis unanimes _

A leur première rencontre

L’avait complètement ébloui.

Mais le plus beau tableau ne montre

Que ses aspects inouïs.

Il avait rampé à ses pieds

Avait prié, supplié

Elle avait accepté

La vie commune.

Hélas! Il avait oublié

Maladie auto-immune

Des amoureux fous à lier

Qu’il faut éviter de se fier

A des élans irraisonnés:

Epouse n’est pas La Joconde

Peut parfois dire choses immondes…

Des mots qui blessent …

Elle n’était pas sainte de messe,

Plutôt une vipère aspic…

Et après un dernier coup de pic

Avait voulu la faire taire.

Mais même étendue à terre

Il rendait gloire à sa beauté.  

Radotage: petit conte triste

Lundi 3 février 2025

petit conte triste

 

Marie a « du pain sur la planche » ce matin, nettoyer trois appartements, faire les courses pour une vieille dame et l’aider à marcher quelque peu, ranger, mettre en ordre, pas de temps à perdre ! Elle a déjà brossé, lavé, rangé tout dans deux maisons, elle se dépêche de passer chez la vieille du cinquième pour prendre la liste des commissions, vite, car le magasin va bientôt fermer elle fait le tour des rayons , remplit le panier, revient le plus vite possible, entre, range avec dextérité les produits à leur place, le panier dans le placard, froisse le sac, le jette à la poubelle….OH ! elle est pleine ! se depêche de la vider, passe la serpilière dans la cuisine et dans l’entrée, l’aspirateur dans la chambre, fait le lit sans réveiller la vieille assoupie, et son travail accompli , rentre enfin chez elle l’esprit tranquille. 

  

  

EVA  atteinte d’une maladie qui la séquestre dans son logement s’est résignée à faire appel à une « aide » notamment pour lui faire ses courses au magasin voisin. 

Ce n’est pas qu’ EVA soit soupçonneuse, mais toute une vie passée à la comptabilité d’une entreprise lui a légué un besoin de faire coïncider chaque somme à son objet. 

Au retour de son « aide », dès qu’elle trouve le courage de se traîner vers le panier, elle cherche vivement sa note car la tenue de ses comptes est la seule chose qui la retient un peu à la vie… Pas de note dans le panier, PAS de note dans le sac…d’ailleurs, où est-il ce sac ? 

Alors, tristement, EVA rejoint son fauteuil privée de son petit plaisir. 

 

Cet article a été posté le Vendredi 15 juillet 2011

Tu dis « nous » comme les princesses

Lundi 3 février 2025

(inspiré par une image FB)

Assise sur ta botte de foin,

Tu dis « Nous » comme les princesses…

Voyons! Tu es une déesse!

Plus rayonnante il n’y a point!

Eblouis par ta jeunesse,

Mille garçons aimeraient bien

Te proposer leurs caresses,

Mais face à toi, ne se sentent rien:

Tu sais t’occuper des bêtes,

Les nourrir, les traire, les caresser.

Ta journée, elle ne s’arrête

Jamais! Pas question de paresser.

Allez! Je loue ton courage!

Allez! J’admire ta beauté!

En vieux grand-père devenu sage,

Je me permets de te saluer.

 

FILM  » La pie voleuse »

Dimanche 2 février 2025

Synopsis:

Maria n’est plus toute jeune et aide des personnes plus âgées qu’elle.

Tirant le diable par la queue, elle ne se résout pas à sa précaire condition et,

par-ci par-là, vole quelques euros à tous ces braves gens

dont elle s’occupe avec une dévotion extrême…

et qui, pour cela, l’adorent…

Pourtant une plainte pour abus de faiblesse conduira Maria en garde à vue…

 

Pour ce qui est d’abus de faiblesse,

ils sont nombreux dans ce film,

et de toutes sortes: Certes Maria profite de la faiblesse de ses assistés,

mais son mari très conscient de ce qu’elle vole pour boucher les trous

qu’il creuse en s’adonnant au jeu, ne profite-t-il pas

de la faiblesse de son épouse face à leur DECLASSEMENT.

Car il s’agit plutôt de l’enfer du déclassement,

des enfers plus précisément

Enfer du handicap/ vieillesse 

Enfer de la dépendance/maladie

Enfer de conditions de travail qui perturbent la vie familiale

Enfer du besoin de paraître ce que l’on n’est plus capable d’assumer

Quant à la réaction de celui que l’on vient supplier de ne pas déposer de plainte(???) 

 

Petits poussins dans la forêt

Dimanche 2 février 2025

(inspiré par le conte de trois petits poussins)

Trois petits poussins

Etaient partis en forêt

Fourmis, sous les sapins!

Grattaient et s’ébattaient…

Une renarde en ribotte

Le premier mai

Se dit: « ils n’ont pas la cote

Prenons patience,

On ne sait jamais ».

De jour en jour firent bombance

Ils grandissaient.

Se remplirent jabot immense

Ils étaient coqs en juillet!

« Venez! Venez, renardeaux

Ne vous montrez pas douillets

Leurs becs ne sont pas doux »

Au quinze d’août

Il n’y eut plus dans le fourré

Que quelques plumes éparpillées

 

Ces vieux, quelle calamité!

Samedi 1 février 2025

Jamais jamais ils ne se plient

Trouvent sans cesse une

                              échappatoire

Font semblant de n’avoir compris

Pour organiser leur foire.

On fait la chasse à leurs voitures

Aussi têtus que des ados,

La prennent même, forfaiture,

Quand les quadras sont au dodo.

Entre les piquets de clôture,

Ils trouvent à se glisser.

On leur interdit la luxure,

Sans le moins du monde se hérisser,

Trouvent partenaires idoines:

Réussissent à s’esbaudir

Comme étalons nourris d’avoine.

Qu’importe qui va les maudire:

Avaient compris au catéchisme

Qu’entre les principes et les actes,

Il y a très souvent un schisme,

Un ravin, une cataracte.  

 

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