Dans le flanc de la montagne

Oyez! Oyez, braves gens

Quelle est l’angoisse aujourd’hui, 

Au début du gai printemps,

De l’esprit calme  du grand puy

Qui vieillissait vaille que vaille…

Du fin fond de ses entrailles,

Son sommet blanchi comme linge ,

Il sent grands remue-méninges,

Violent remous, combat d’escrime.

Rythmée par des borborygmes,

Montée brûlante, irrépressible,

 De vers d’une beauté indicible:

Erato, pour une saison magique

Est saisie d’une passion volcanique.

 

 

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