« La mort de cet homme que j’ai tant désiré »
« La mort de cet homme que j’ai tant désirée »
D’où l’importance de l’accord:
Question, pour moi, un peu futile:
Dans les désirs versatiles
De certains éléments humains
Qui peuvent désirer soir et matin
Un homme d’un amour vorace…
La deuxième version a sa place
Quelques jours, quelques années plus tard
Le pauvre objet cessant de plaire
Malheureusement devient tricard
Et on rêve, on prie, on espère
Très fort
Sa mort!
J’avais complètement oublié le mot « tricard », grâce à vous il me revient en tête. Il est vrai que le suffixe ARD, lui, n’a pas disparu de mon cerveau, sa note péjorative fait le bonheur des gens, et le mien. J’ai relu la liste des mots en ard sur le wiktionnaire, ça donne envie d’écrire un texte où ils seront légion…
C’est le privilège des ancêtres:
Pouvoir ressortir des vieux cartons,
(Leur lit d’agonie peut-être)
Les mots moribonds.