Tout au cours de mon enfance, le jour de l’assomption était célébré de manière rituelle à l’église par une procession aux flambeaux…
Le retour à la maison était généralement arrosé par un orage violent et des trombes de pluie…
Après la sécheresse de l’été, cette pluie était bénédiction… Mon père se plaçait sur la porte de l’étable et formulait une prière pas forcément canonique: « POMPEZ! SEIGNEUR! POMPEZ MAIS POMPEZ DONC! »
Que de souvenirs… ma grand-mère qui habitait dans un petit village de l’Ariège, disait exactement la même chose, mais sans le pompez donc, je m’en souviens si bien…