Pardon pour cette absence: quelques jours pour faire face
à deux lourdes échéances:
Entamer les 82
fermer la 56ème des années au cours desquelles
mon épouse dut me supporter…
Ni condoléances ni félicitations merci!
Pardon pour cette absence: quelques jours pour faire face
à deux lourdes échéances:
Entamer les 82
fermer la 56ème des années au cours desquelles
mon épouse dut me supporter…
Ni condoléances ni félicitations merci!
Les grands magnats de finance
Pour établir leur dictature
Dans le monde comme en France
Achètent la presse et la censurent…
N’ont pas tous même religion
De politique pareille option,
Mais pour eux le plus important
Quoi qu’il en coûte évidemment
Accroître leur masse de pognon
Quittes du trône de Poséidon
A faire périr toutes les nations
Et dans l’horrible tourbillon
A crever eux-mêmes de leur passion.
Elle vint s’asseoir près de moi
Grande, belle, jugez mon émoi…
Ma timidité bien cachée
En provocation me fit lui glisser:
« Vous ne craignez rien:
En surveillance de son bien
Ma femme veille sur mes mains »
Elle sourit d’un air malin
« Me voilà tout a fait rassurée »
Comme elle sortait son portable
J’eus envie de lui suggérer
Pour lire mes textes pendables
Sur mon radeau de se porter…
« Vous écrivez des poèmes?
Moi aussi! En voici un que j’aime. »
Elle me lut une poésie
A poser le genou en terre
Me dit qu’il est écrit par sa mère,
Une respectable nonagénaire.
………………………………
Puis la musique annonça le début du spectacle…………….
(inspiré par Presquevoix canalblog 28 mars 2024)
Normal… Normal…
Qui définit le bien ou le mal?
En cours de vie, qui peut savoir
Ce que Nature va proposer?
En cours de vie qui peut savoir
Ce que la foi va imposer?
La Nature-mère bien malmenée
Fournit pulsions inopinées…
La foi profonde bien intégrée
Lourdes douleurs peut créer…
Nulle pommade, aucun onguent
Ne peut apaiser les tourments
Une résilience amener…
Qui donc a le droit de condamner?
Que celui qui n’a jamais péché
Jette la première pierre pour lyncher
Chacun fait face, autant qu’il peut,
Souvent bien loin de ce qu’il veut!
C’est un spectacle époustouflant
Ceci dès le premier instant
Tous ces personnages figés
Comme santons empoussiérés
Un bar? Un Pub? Maison de jeu
Sur lequel règne quelque peu
La belle Minnie inaccessible
Sur laquelle tous rêvent de possible.
Elle est pour tous la confidente
L’amie sûre et puissante
La consolatrice, la soeur
De tous ces maltraités du coeur.
Et le shérif aimerait bien
En faire son « bien ».
Mais elle, comme la Madelon
De la garnison
Amie de tous, femme de personne
Attend toujours que l’heure sonne…
Arrive, arrive un étranger
Plein d’aventures à raconter…
Comme coup de foudre réciproque
Voilà l’amour ce qu’il provoque!
Mais, jaloux le shérif étoilé
Va rechercher va enquêter
Bizarre on cherche un peu partout
Sinistre bandit, un voyou…
Ah! Mais c’est lui, on l’a trouvé!
Il faut le pendre l’exécuter!
Minnie va si bien plaider
Que son amour sera sauvé!
Marie Lou était restée vierge
C’est qu’à l’époque, se méfier!
Au risque de mille verges
Etre blanche pour se marier!
Son promis était parti,
N’était jamais revenu.
La guerre, cette saloperie,
L’avait, pour toujours, retenu…
Il y avait plus de cinquante ans
Que cet hymen vieillissait,
Dans le triste sentiment
D’une vie qui périssait.
Une vie qu’elle aimait pourtant…
Quand elle vit s’écouler du sang!
Règles anormales pour le temps:
Ménopausée depuis longtemps…
Un médecin, l’auscultant,
Pour étudier plus avant,
Cela sans aucun scrupule,
Rompit ce pauvre opercule…
A l’hôpital _ sans virus _
Pour cancer de l’utérus
Fut reçue comme patiente…
Mais, dans les années cinquante,
C’était bouteille à la mer!
On déduisit, constat amer!
Que la pauvre médecine, dépassée,
Ne pouvait l’empêcher de trépasser.
On la ramena chez elle.
Elle reçut l’extrême onction…
Un médecin pourtant, qu’elle
Rejetait dans ses convictions,
(Kommuniste vous pensez!)
Lui proposa un traitement
Venu de Suisse, (sans trop dépenser!)
Pour un essai évidemment…
Marie Lou avait un peu d’argent
Et ma foi, pas d’héritier…
Accepta finalement…
Quand elle me l’a raconté,
C’était fini depuis plus de trente ans…
Quant au fameux traitement?
???????????????????????????? Comme pour bien d’autres évidemment!
La médaille d’or, cette année-là, elle la méritait vraiment.
Sa technique était la plus innovante, la plus inventive.
C’était la meilleure, aucun doute à ce niveau.
Rodolphe Maréchal, ami de Surya Bonaly.
Et d’ajouter : « Il fallait qu’elle marque le coup.
Rien de rebelle là-dedans comme on put le dire certains.
Ils n’ont rien compris. C’est juste, que ce n’était pas juste !
Alors elle l’a fait savoir, en redonnant sa médaille d’argent ! »
Je n’ai pas beaucoup d’estime pour les sports en général.
Mais la beauté artistique du patinage, j‘ai eu le plaisir de le découvrir
Si longtemps, cela se reliait beaucoup à la danse classique, Surya
apportait une nouveauté que les partisans de la rigueur « académique »
sentaient leurs dents grincer en l’apercevant.
Elle était BELLE! Elle n’était pas entrainée par un membre de l’entre soi classique.
De plus, sur la glace blanche, on aurait pu penser qu’elle était ressentie comme une tache.
Ce n’était pas du racisme…NON! C’était pire que cela…
L’épisode de la médaille arrivait après moultes embûches:
ce n’était pas ELLE la préférée des officiels de France,
elle en eut des peaux de banane sous les patins! Pour sourire, je pensais
que ses « cabrioles » inusitées étaient un moyen de voltiger au-dessus des
rigidités cadavériques ancestrales des puissants de l’époque.
Chapeau bas! Surya!
Et merci pour le vent de fraicheur que tu fis souffler!
Non ce n’est pas l’Italien
Dont parlait feu Serge Reggiani!
C’est un pigeon épicurien
Il a goûté le fruit de ximénie…
Il en fut tout déboussolé
A oublié le lieu de son nid
Il a cherché, errant, désolé.
N’ayant plus de voie définie,
A exploré le monde entier,
De l’équateur à la Laponie
Sans l’Everest oublier.
Et comme par un tour de magie
Soudain l’appel a ressenti!
Sept ans c’est tout un symbole
Il emportait message en vol:
On n’est vraiment bien à l’abri
Que dans raison pour la vie.
Au marais de l’homophonie
On peut facilement sombrer
Dans une totale incompréhension…
Cela fait la cacophonie
Dans les commentaires encombrés
De calculs et d’ambitions.
Les Dauphinois, les Auvergnats
Mesurent chaque jour les dégâts
Du Wauquisme qui, comme araignée
Tisse une toile aux mailles serrées
une nouvelle idéologie de droite qui se rapproche sans limite
de l’extrême droite, en rupture totale avec les grandes figures
de la droite républicaine, de Jacques Chirac, Alain Juppé
ou Jacques Barrot ».
Ailleurs les quinquas dépassés
Par révolutionnaire marée
Lèvent les bras épouvantés
Toutes leurs belles « équités »
Montrent les limites étriquées…
Pleins feux sur les « mis de côté »
Femmes, noir(e)s LGBT….
À droite, on compare le « wokisme » à « une nouvelle culture morale,
dans laquelle le statut de victime devient une ressource sociale »,
d’après une note de la Fondapol,
le think tank dirigé par Dominique Reynié,
ancienne tête de liste LR aux régionales en 2015.
Le « wokisme » irait alors à l’encontre de l’universalisme français.
Ses parents profitent à fond de leur retraite,
mais lui n’en peut plus de voir son argent dilapidé en voyages.
Un Britannique de 34 ans soulève un sujet plus complexe et profond qu’il n’y paraît.
TON héritage???
Quel radotage!
Tu veux parler de l’argent
Dont, pour l’instant
Ils disposent…
Sont-ce biens que tes ancêtres
De génération
En génération
Peut-être
Ont transmis
A leurs petits?
Si c’est le cas, tu as raison!
MAIS , à mon avis, voyons,
Il me semble plus probable,
Que c’est de l’argent honorable
Qu’ils ont économisé…
Ils t’ont élevé?
T’ont permis de te former?
Amené à l’âge de te débrouiller?
Pendant toute leur vie de travail,
Ce qu’ils ont peut-être amassé,
De quelle raison qui vaille
Peux-tu te prévaloir?
Au titre de droit et devoir
Tes parents
En t’écoutant
Ont le droit de s’en vouloir:
Ils ont élevé un serpent!