Vous fûtes, ce jour bien nombreux à venir sur le radeau:
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je suis très toiché par votre attention.
MERCI!
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je suis très toiché par votre attention.
MERCI!
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Si, sur la route️, votre compteur, vous le faites exploser,
ou si derrière votre volant, vous êtes alcoolisé(e),
idem pour les défauts d’assurance, et autres permis non prorogés.
Par ce grand froid, on vous fera regretter d’avoir bravé tous les dangers️,
avec en prime, un joli sourire spontané… »(gendarmes dans le nord)
C’est mieux que la gueule renfrognée à laquelle j’ai eu droit POUR RIEN…
Pendant 40 ans
Ah! Si! Ca les choquait que je porte une barbe!
L’autopsie, « qui n’a pas révélé de lésion traumatique laissant suspecter l’intervention d’un tiers », n’a pas permis d‘établir les causes du décès, a fait savoir Audrey Quey, la procureure de la République de Vienne.
Les investigations se poursuivent notamment « avec la réalisation d’analyses complémentaires », a ajouté le parquet, sans donner plus de précisions.
Faire planer la suspicion
Pour ajouter à la peine
N’était-ce point déjà damnation?
N’était-ce point la géhenne?
C’est vrai ce décès est très rare
La douleur, certes, égare,
Publier urbi et orbi
Que la justice s’en empare
Comment parents, est-ce qu’on le vit?
Avec la famille, mon coeur
Pleure.
Dans notre monde aseptisé
Où on veut tout analyser
C’est tourner le fer dans la plaie
Que l’intervention du palais.
Qu’elle veuille comprendre,
Mais imaginer pis que pendre…
Ah! Est-ce si sûr?
C’est qu’aucune chronique
Ne cite ce mur.
Quoi? Bernique?
Mais, dans le coin, la mousse,
Doucement pousse!
L’oiseau, dans l’arbre perché,
A trouvé un ver,
Asticot bien caché.
Bouton de fleur, bien ouvert,
A recueilli
Larmes de pluie.
Les arbres voisins,
Ont entonné, sans retard,
L’espoir pour demain.
Et une abeille,
Avait récolté, la veille,
Un sac de nectar.
Tik tok n’a rien mentionné…
Buzz abandonné!
BZZZ! Bzzzz! BZZZ!
En regardant ce film, je n’ai cessé de me demander quels conteurs de fariboles
diffusent, en Afrique, une image aussi idyllique de l’Europe pour que des jeunes soient prêts à braver tous
les dangers.
Il semble que la description des dangers par ceux qui gardent la tête sur les épaules soit vaine et inutile.
On n’entend pas ce qu’on ne veut pas savoir.
Même les traditions ancestrales qui ont été censées régler les dilemmes passés semblent sans prise sur les fantasmes…
Mais en fut-il autrement, en Europe au temps du rêve de l’Amérique?
Voilà deux adolescents, qui dans le secret de leur ambition vont mentir à leur entourage pour se joindre au fleuve des migrants.
Sûrs comme on l’est à quinze ans de faire face à tout sans faiblir,
Ils décident de fuir sans savoir où cette traversée les mènera:
les gens qui racontent des horreurs sur ce qui arrivent à ceux qui partent
exagèrent sûrement: ils seront plus forts!
Ils nous emmènent dans un calvaire bien pire que les pires racontars,
la corruption, l’indescriptible traversée jusqu’au pire de l’imaginable…
Film perturbant!
Ce n’est pas un reportage…
Il serait vraiment incomplet, car la suite de l’aventure n’est pas plus reluisante…
Quel est le but secret du cinéaste?
Je me pose la question…….
Quel intérêt pour l’Education Nationale!
Après le télé-ministre d’Ibiza, un ministre tous les six mois!!!
… A moins que ce nouveau premier ministre ne se charge AUSSI de l’l'Education Nationale… S’il a le don d’ubiquité…
Merci à mes visiteurs:
379 hits 331 visites ce jour 8 janvier
Merci! Je me sens très honoré.
Encore un skieur, hors piste
Enseveli sous une avalanche
On ne finira donc jamais la liste
Des accidents sous neige blanche!
Pourtant…Pourtant ce n’est pas faute
De mise en garde: tant que le manteau
Ne s’est pas stabilisé sur zones hautes
Mieux vaut rester près des poteaux,
Sur les pistes sécurisées…
Quand on est jeune on croit toujours
Que les vieux radotent billevesées
Quand on est jeune on dit bonjour
Moi je ne crains rien suis immunisé…
Et les secours pour te chercher
As- tu pour eux une pensée?
Et les secours pour te chercher,
As-tu le droit de les mettre en danger?
Quand j’entends le mot fainéant,
En moi, aussitôt, ressurgit
Ce souvenir de mes six ans:
La grand-mère clouée au lit,
Dès que le jour était pointé,
Nous appelait à grands cris
Pour que nous allions vaches garder.
J’entends le mot aujourd’hui
Dans la bouche d’un individu
Qui, peut-être, élève assidu,
A des mains blanches et sans cals
Qui n’a jamais fait de béton
Qui ne sait pas ce qu’est la mal,
Ressenti après les pressions
D’un patron jamais satisfait.
Ma grand-mère je la maudissais,
Mais, durant sa vie entière,
Elle avait labouré, trimé,
Mené la vie d’une fermière
Et, par là, avait mérité
Le droit sur les autres d’exiger.
Le gamin malappris
Qui ose exprimer son mépris
A l’égard des travailleurs
Des gens de rien, des illettrés,
Devrait vraiment se méfier
A trop bas les humilier
Les paisibles taurillons
Deviennent des taureaux furieux.
Ceux que l’on croyait moutons
Sous les insultes à qui mieux mieux
Se transformeront en lions.
Ce ne fut pas musique pop
A déchirer tous les tympans
Qui apporta le tourment.
Ce ne fut pas une escalope
Ni un bon boeuf bourguignon
Qui déclencha la dissension
Non ce n’est pas une clope
Fumée en grand secret
Derrière la porte des cabinets.
Non, ce n’est pas une chope
Bue d’un coup jusqu’à la lie
Qui fit sonner l’halali!
Ce n’est pas une ligne de dope
Reniflée sans rien penser
Qui condamna les éxilés
Ce fut bien un gros fruit vert
Que présenta le serpent
Qui apporta le tourment.