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Archive pour janvier 2024

Des allures d’Hernani

Vendredi 26 janvier 2024

La tempête littéraire

Dans son contexte politique

Fait bondir des thuriféraires

Multiplier les critiques….

Epanouir les haines

Vouer les uns à la géhenne

Est-ce vraiment la peine?

 

Ah! Laissez-moi citer le grand VICTOR HUGO

 

Je fis souffler un vent révolutionnaire.
Je mis un bonnet rouge au vieux dictionnaire.
Plus de mot sénateur ! plus de mot roturier !
Je fis une tempête au fond de l’encrier,
Et je mêlai, parmi les ombres débordées,
Au peuple noir des mots l’essaim blanc des idées ;
Et je dis : « Pas de mot où l’idée au vol pur
Ne puisse se poser, tout humide d’azur ! »
Discours affreux ! — Syllepse, hypallage, litote,
Frémirent ; je montai sur la borne Aristote,
Et déclarai les mots égaux, libres, majeurs.
Tous les envahisseurs et tous les ravageurs,
Tous ces tigres, les Huns les Scythes et les Daces,
N’étaient que des toutous auprès de mes audaces ;
Je bondis hors du cercle et brisai le compas.
Je nommai le cochon par son nom ; pourquoi pas ?
Guichardin a nommé le Borgia ! Tacite
Le Vitellius ! Fauve, implacable, explicite,
J’ôtai du cou du chien stupéfait son collier
D’épithètes ; dans l’herbe, à l’ombre du hallier,
Je fis fraterniser la vache et la génisse,
L’une étant Margoton et l’autre Bérénice.
Alors, l’ode, embrassant Rabelais, s’enivra ;
Sur le sommet du Pinde on dansait Ça ira ;
Les neuf muses, seins nus, chantaient la Carmagnole ;
L’emphase frissonna dans sa fraise espagnole
À découvrir sur le site https://www.poesie-francaise.fr/victor-hugo/poeme-reponse-a-un-acte-d-accusation.php

Elle était partie bien trop tôt

Vendredi 26 janvier 2024

Elle était partie bien trop tôt

Fauchée par un chauffard pataud…

Sûr qu’elle veillait tout là-haut,

Chaque matin, dans la grand cour,

Il répandait, avec son seau,

En forme de coeur, un parcours,

Pour que ses poules messagères

Puissent formuler son amour,

Toujours sincère.

Le gouvernement s’en fiche

Jeudi 25 janvier 2024

De quoi amener la suspicion

Stanislas et Parcoursup : le gouvernement note un non-respect

mais garde sa confiance en la ministre

Article de P. GRATIAN. 
Oyez! Oyez, bonnes gens!
Il fut un temps
Où on enseignait la morale
Pour une vie commune normale.
Où on professait l’honneur
Tant à l’école que dans les choeurs
Etait puni, excommunié
Quiconque était découvert
Comme ayant triché falsifié
Renvoyé au diable Vauvert
C’était hier, il y a longtemps,
Un voile aujourd’hui est  tombé
On peut tricher impunément
Sans être trop inquiété
Avec de hautes bénédictions
On peut garder le front haut
Ailleurs ce serait c…TION
Chez nous sous certains préaux
On triche, on triche, on triche,
…Mais comme c’est à l’école des riches
On triche, on triche, on triche ,on triche
Le gouvernement s’en fiche!

La baignoire?

Jeudi 25 janvier 2024

Là-bas, tout au fond de l’igue,

Le sol s’est ouvert brusquement.

C’est là, qu’en cas de fatigue,

Lucifer forces reprend.

Dans la boue malodorante

Il gratte ses chancres purulents

Avec, de crocodiles, les dents.

De quoi faire pâlir d’épouvante

Des guerriers, le plus valeureux.

Ne venez, pas, malheureux,

Troubler sa recherche d’extase:

Il pourrait vous condamner

A accepter sans emphase

La plus dure des tannées!

Printemps des poètes…

Mercredi 24 janvier 2024

PARRAIN?????

GRACE???????

 

Voilà un drôle de vocabulaire

Pour parler de poésie!

Je ne dirai pas solaire…

Une drôle de géodésie.

S’agit-il comme dans la mafia

D’un bizarre personnage

Protégé par l’omerta

Contre le moindre commérage?

Serait-il comme à l’église

Un tuteur guidant les pas?

Athéisme pas de mise?

Juste chant « Alléluia »?

D’ailleurs pour chanter la Grâce

Les vers, pardon pour mon audace,

Comment doivent-ils être formulés?

Au latin, religieux langage,

Le poète est-il acculé?

Douloureuse image.

 

Tant pis si c’est insolent,

Les fleurs les plus magnifiques

Celles dont la Grâce est magique

Fleurissent hors emprisonnement.

 

 

Le plus beau métier du monde…

Mardi 23 janvier 2024

 

Ce fut le plus beau métier du monde,

Mais on s’est bien chargé de l’abolir.

Pensez: il était celui à la ronde

Qui apprenait à réfléchir!

DANGER! DANGER! DANGER! DANGER!

Le peuple risquait d’ouvrir les yeux!

Les moutons ne voudraient plus être mangés

Les ânes allaient bramer aux cieux.

Autrefois confié aux religieux

Répétiteurs, catéchistes,

Il était vocation _ sérieux_

Non passe-temps pour hédonistes!

Puis vint le temps des hussards:

Maître, respect,  « garde à vous »: caporal.

On a permis la mise au rencart

Du Maître, dénigré le Général.

Pour aller plus bas dans l’abject

On a relégué l’Education Nationale

Derrière le SPORT au court dialecte

Et même après la gestion infernale

Des fameux 

Olympiques jeux

Qui ne sont plus que brassage de fric

Au profit de certaines cliques.

Et pour préciser bien l’affaire

On en a chargé une personne

Qui ne cache point mépris tutélaire

Comme la patronne sur ses bonnes.

Mais voyons! Tu sais bien que tu n’es pas des élites de l’entre-soi!

Lundi 22 janvier 2024

« Un homme me filme, m’insulte, me menace.

Tout du long, je n’ai cherché qu’à apaiser la situation.

C’est ce qu’il y avait de mieux à faire.

Deux jours plus tard, voilà la vidéo sur les réseaux sociaux.

Je pouvais m’y attendre, il n’y a rien d’étonnant.

Ce qui m’a le plus surpris c’est de ne voir…

Aucune réaction », écrit l’élu qui a déjà fait l’objet de menaces. se plaint LOUIS BOYARD

 

Voyons! voyons! Tu ne sors pas de L’école alsacienne?

Ton syndicat lycéen n’avait pas le tampon Blanquer ?

Tu ne sors pas de Stanislas?

Tu n’as pas été recalé à l’ENA?

De plus, HORREUR, tu es élu insoumis…

En somme tu es de la populace qu’il est de bon ton de mépriser…

 

Riz rat bien qui riz rat(inspiré par le blog »dis bonjour »

Lundi 22 janvier 2024

N’en déplaise aux fausses rumeurs,

Celles qui troublent les coeurs,

Riz brisé n’est pas moins riz

Déclare le rat qui sourit.

Prévu pour jeter à la volée

Sur mariage en gai défilé,

Ou pour cuisiner pâtée

Pour un dogue lourd et empâté

Il sait bien, le rat, qu’in fine

Le riz, vous l’avez deviné,

Sera avalé… Par qui?

C’est là que riz…

Rat bien qui riz rat le dernier!

Ca « leur » convient…

Dimanche 21 janvier 2024

«Nous, ça nous convient tout à fait», l’indignation des élèves et des parents devant la polémique Stanislas

Article de Caroline Baudry 
Nul doute que cela « leur convienne » sinon seraient déjà ailleurs, enfin peut-être…
Car l’entre-soi de l’opulence, des nantis, du prêt à penser, même s’il a des inconvénients
(on apprend à passer entre les gouttes) promet des espaces d’avenir, grâce aux réseaux de bien régnants.
Ils se sentent montrés du doigt, comme les horribles athées qui se font excommunier…
Et si on leur apprend à pardonner à qui les aurait violés, ne sont pas prêts à accepter
que la populace souligne que leur façon de passer à la caisse exige de respecter les lois
de la République (La Raie Publique?? pour certains).

Radotage: A propos de formation des jeunes

Dimanche 21 janvier 2024

Au nom des fils

 

(Présentation piochée sur internet)

Voici 17 ans, de jeunes scouts et un plaisancier ayant tenté de les sauver périssaient noyés au lage de Perros-Guirec, en Bretagne. La responsabilité de l’abbé Cottard qui avait en charge la surveillance des adolescents, était mise en cause. Un drame dont est tiré le téléfilm Au nom des fils, diffusé ce mardi 17 mars à 20h50 sur France 3.

Christian Faure s’est inspiré d’un fait divers breton pour le téléfilm Au nom des fils : la mort en mer de quatre jeunes scouts et d’un plaisancier qui tentait de leur porter secours, au large de Perros-Guirec en 1998. L’abbé Cottard, religieux traditionnaliste, avait été jugé responsable du drame. Les scouts, de jeunes adolescents, avaient en effet pris la mer, seuls, sans être accompagnés du prêtre, et ce malgré des conditions météorologiques très défavorables.

Le téléfilm met au cœur de l’histoire le destin de deux femmes : la mère de l’un des enfants, campée par Léa Drucker, et la mère du jeune sauveteur disparu, jouée par Isabelle Gélinas, qui vont chacune à leur manière affronter le deuil de la perte d’un enfant. Celles-ci devront faire face à leur entourage lorsqu’elles décident de saisir la justice, tandis que l’omerta règne dans la communauté religieuse, y compris chez les parents des autres jeunes victimes. La recherche de la vérité que ces deux mères doivent à leur enfant va peu à peu les rapprocher.

Mardi soir, sur fr3 passait le film : « Au nom des fils »

 

En dehors du drame sur lequel est bâti le film, ce qui peut frapper des gens non avertis des comportements de personnes qui pratiquent leur religion comme une secte, c’est la négation du prix de la vie. On peut comparer la manière dont l’entrainement de ces jeunes est conçu aux conceptions des généraux de 14-18… Et on est forcé de penser qu’il n’y a pas loin dans l’extrémisme, entre cet  entrainement et celui des enfants utilisés par DAESH.

Certains penseront que le film a forcé le trait…

L’année précédant le drame, j’avais eu maille à partir avec ce genre de « scouts », installés sur un terrain voisin, qui s’étaient présentés chez moi, pour « m’inviter » à assister chaque matin à leur messe en latin … Comme je leur avais répondu que cela ne m’intéressait pas ils avaient eu l’audace de me répondre : « ce sera de gré ou de force ». Bien entendu, je les ai jetés dehors, mais, chaque matin, à sept heures cinquante cinq, ils sont venus faire une manœuvre de rassemblement de type militaire devant ma porte.

Ma foi, je travaillais dans la banlieue lyonnaise, les jeunes zonards étaient moins désagréables.

 

PS : Je précise que je parle bien ici des « scouts d’Europe » et non des scouts de France avec qui le voisinage a toujours été correct voire sympathique.

Je crois savoir qu’après un scandale (fourniture d’adresses d’enfants à un éditeur de livres nazis , entre autres) un grand changement dans la structure a été opéré (année 2000)

Cet article a été posté le Jeudi 19 mars 2015 

 

Les adultes de tous les partis,

Ont préféré tourner vers le feûne°  °le sport opium du peuple

Des ados, toute l’énergie,

Au lieu de les former civiquement:

Les curés avaient scouts et jeannettes,

Les fachos misaient sur le régiment,

Chez les cocos: « suivez Jeannette »°         Van der Meersche

Les laïcs avaient leurs éclaireurs,

Surtout pas faire des emmerdeurs!

Alors, voyons… pour  démarcher,

Allons ailleurs, idées chercher…

Le monde ne manque pas de sectes!

Et si ce qu’ils font vous débecte,

Souvenez-vous qu’on a la jeunesse

Que l’on n’a pas formé par paresse.

 

Cet article a été posté le Mardi 30 mars 2021

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