(Présentation piochée sur internet)
Voici 17 ans, de jeunes scouts et un plaisancier ayant tenté de les sauver périssaient noyés au lage de Perros-Guirec, en Bretagne. La responsabilité de l’abbé Cottard qui avait en charge la surveillance des adolescents, était mise en cause. Un drame dont est tiré le téléfilm Au nom des fils, diffusé ce mardi 17 mars à 20h50 sur France 3.
Christian Faure s’est inspiré d’un fait divers breton pour le téléfilm Au nom des fils : la mort en mer de quatre jeunes scouts et d’un plaisancier qui tentait de leur porter secours, au large de Perros-Guirec en 1998. L’abbé Cottard, religieux traditionnaliste, avait été jugé responsable du drame. Les scouts, de jeunes adolescents, avaient en effet pris la mer, seuls, sans être accompagnés du prêtre, et ce malgré des conditions météorologiques très défavorables.
Le téléfilm met au cœur de l’histoire le destin de deux femmes : la mère de l’un des enfants, campée par Léa Drucker, et la mère du jeune sauveteur disparu, jouée par Isabelle Gélinas, qui vont chacune à leur manière affronter le deuil de la perte d’un enfant. Celles-ci devront faire face à leur entourage lorsqu’elles décident de saisir la justice, tandis que l’omerta règne dans la communauté religieuse, y compris chez les parents des autres jeunes victimes. La recherche de la vérité que ces deux mères doivent à leur enfant va peu à peu les rapprocher.
Mardi soir, sur fr3 passait le film : « Au nom des fils »
En dehors du drame sur lequel est bâti le film, ce qui peut frapper des gens non avertis des comportements de personnes qui pratiquent leur religion comme une secte, c’est la négation du prix de la vie. On peut comparer la manière dont l’entrainement de ces jeunes est conçu aux conceptions des généraux de 14-18… Et on est forcé de penser qu’il n’y a pas loin dans l’extrémisme, entre cet entrainement et celui des enfants utilisés par DAESH.
Certains penseront que le film a forcé le trait…
L’année précédant le drame, j’avais eu maille à partir avec ce genre de « scouts », installés sur un terrain voisin, qui s’étaient présentés chez moi, pour « m’inviter » à assister chaque matin à leur messe en latin … Comme je leur avais répondu que cela ne m’intéressait pas ils avaient eu l’audace de me répondre : « ce sera de gré ou de force ». Bien entendu, je les ai jetés dehors, mais, chaque matin, à sept heures cinquante cinq, ils sont venus faire une manœuvre de rassemblement de type militaire devant ma porte.
Ma foi, je travaillais dans la banlieue lyonnaise, les jeunes zonards étaient moins désagréables.
PS : Je précise que je parle bien ici des « scouts d’Europe » et non des scouts de France avec qui le voisinage a toujours été correct voire sympathique.
Je crois savoir qu’après un scandale (fourniture d’adresses d’enfants à un éditeur de livres nazis , entre autres) un grand changement dans la structure a été opéré (année 2000)
Cet article a été posté le Jeudi 19 mars 2015
Les adultes de tous les partis,
Ont préféré tourner vers le feûne° °le sport opium du peuple
Des ados, toute l’énergie,
Au lieu de les former civiquement:
Les curés avaient scouts et jeannettes,
Les fachos misaient sur le régiment,
Chez les cocos: « suivez Jeannette »° Van der Meersche
Les laïcs avaient leurs éclaireurs,
Surtout pas faire des emmerdeurs!
Alors, voyons… pour démarcher,
Allons ailleurs, idées chercher…
Le monde ne manque pas de sectes!
Et si ce qu’ils font vous débecte,
Souvenez-vous qu’on a la jeunesse
Que l’on n’a pas formé par paresse.
Cet article a été posté le Mardi 30 mars 2021