Vous futes 418 dans la journée d’hier (459 hits)
merci! Merci! Merci!
Vous futes 418 dans la journée d’hier (459 hits)
merci! Merci! Merci!
Il pleut, il pleut… Ma foi…
Je vais écaler des noix
Des noix sèches de l’an dernier
Elles encombrent les réserves
Dans lesquelles les amis se servent
Restent encore dans des paniers…
Un! Deux! Trois!
Le casse noix
Brise la coquille suffisamment
Pour que le cerneau sorte, lentement.
Oups! voilà un « cacareau »
(Bon pour les poules évidemment)
Recroquevillé comme un crapaud
Desséché au bord d’un étang.
Il pleut! Il pleut! Ma foi
Les coquilles dans la cheminée
Feront doux feu avec du bois
Les coquilles dans la cheminée
Ramèneront un peu de joie.
Je vais rarement à l’opéra
Ce n’était pas dans ma culture
Les chichis, les tenues de gala
Sont bien loin de ma nature…
Cependant, lorsque parfois
On réussit à m’y inviter
Je prends du plaisir, ma foi,
Le talent sait m’épater…
Hier, cependant,
Sans doute étais-je fatigué
J’avoue avoir un long moment
Dormi dans la musique torturée.
Certains disent que Richard Strauss
Réputé tonitruant, aurait un jour été accusé
Nouvelle vraie (ou fausse)
De traumatisme auditif…
Quatre heures de spectacle
Pour le vieux trop ratatiné
Ce fut un peu la débâcle
Ce fut la Bérézin é
Le décor était génial,
Ce que j’ai vu parfaitement joué
L’histoire d’une autre époque,
Sur des valeurs oubliées
De soumission au « vioque »
De devoir de procréer
De rêves sans limite de temps
D’humanité tout simplement.
» LA FEMME SANS OMBRE »
Il m’arrive bien souvent de consulter certains blogs, outre ceux qui font l’objet de mise en devanture par unblog, j’aime pour me divertir consulter chez CanalBlog quelques « inclassables »: « paysan heureux » par exemple. « dis bonjour »… Quelques blogs classés « Actualités et Médias »: « Râleur », « J’aime contrarier », et surtout « La lésion d’honneur ».
Un certain nombre de blogs qui se sont arrêtés me manquent énormément. Je cultive l’espoir qu’il ne s’agit QUE d’autres agréables activités qui accaparent les auteurs « Renaud et poésie » en fait partie…
Soif, petit besoin,
Ressentis en chemin…
Une jolie terrasse.
Sur agréable place…
De jolies petites fossettes,
On poserait des bisous!
Singularité discrète,
Fins percings/ bijoux,
Hymne à la jeunesse!
Déployez votre tendresse
Pour le travail courageux:
Echanges joyeux.
Je viens de tondre la pelouse
Sous les noyers avant récolte
Deux trois paniers pas pour le flouze
Pour la tradition, désinvolte.
On dit qu’ailleurs cette formule
Avait toute autre signification:
Faire disparaître les têtes de mules
Qui pourraient refuser la prison…
Mais le temps n’est pas serein
Retour des masques et des baillons
Vrai ce jour démenti demain
Et rond et rond, petit Patapon.
Je me suis cassé la margoulette
En réparant le parc des ânes.
Un fil félon, à la sauvette
S’est accroché à ma tatane…
Fauché au sol comme une gerbe
J’ai cherché à me redresser
Mais un quintal, même dans l’herbe
Ca ne peut pas bien se passer.
Tourner sur soi, bonne posture,
Tout cela c’est la théorie
Mais en roulant la ligature
S’est resserrée me v’la marri!
Le temps de comprendre l’affaire
Mon vieux cerveau peu habitué
S’est affolé, je n’en fais mystère
Contre ce piège constitué.
Après moultes essais inutiles
Il me fallut me déchausser
Malgré les ronces futiles
Qui n’arrêtaient de se gausser.
Je me suis cassé la margoulette
Chut! Ne riez pas! Ce n’est pas chouette!
15h 15 le quartier fut dérangé par une double explosion…
Diable! Une voiture aurait-elle créé la chose?
Aucun moteur à l’horizon…
Les voisins curieux , arrachés à leur pause
Sont sortis sur le seuil de leur maison…
Couvert de blanche écume, le vieux restait hagard
On s’enquit de la raison…
Il avait sorti le chariot de jardin du hangar.
Pneus crevés! Quelle malchance!
Voulant jouer au plus malin, la bombe de sa voiture!
Tout petits pneus quelle importance?
Charge maxi pour que ce soit dur.
Hélas les vieux pneus, c’est fragile!
Au poser, le premier explose
Suivi d’un second à la file
L’écume? Du produit, avait sa dose!
Chanter Piaf, lorsqu’on est un homme, cela peut paraître une gageure impossible.
Pourtant, ce 14 octobre, à Chirens, MAAX nous fit la démonstration que c’était possible.
Certes, on n’a pas échappé aux amplis et au micro pour une chanteuse de la rue, à voix nue.
Au moins, toute la poésie, la force des sentiments, nous ont été resuscités.
On peut dire MERCI, bien fort, à toutes ces associations qui s’efforcent de faire vivre la chanson française dans la poésie des mots et la douceur d’une mélodie sans percussions inutiles puisque le texte est compréhensible par tous.