Comme je trainais ma vieillesse
Avec langueur et paresse
Je perçus des voix d’enfants
Sur le chemin, en sens montant…
« Ne fuyez pas, jolies déesses
Je vais vous conter une histoire
Dans la promenade, rien ne presse
Décryptons les vieux mémoires ».
Une maman et trois fillettes
Climat calme et sérénité
Je me laissai, à la volette,
Leur conter une, leur conter deux, leur conter
Tout ce qui, remontait, nostalgique
Des temps passés presque oubliés
Ce fut un moment magique
Qui en mon coeur restera magnifié.
Encore dans la ouate douce
Du souvenir si merveilleux
Je vis revenir leurs frimousses
Avec un bouquet… FABULEUX!
J’en ai encore les larmes aux yeux.
(Il y a bien au moins trente ans qu’aucun enfant, hors de la famille, ne m’avait offert des fleurs!)
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