Jadis, en me voyant de loin
Assis près de mon tas de foin,
Elles s’approchaient bien décidées
A partager quelques idées…
Mes mains doucement égarées
Leurs genoux venaient caresser
Elles aimaient dans certains cas
Que mes lèvres un peu avides
Dans leur cou prennent leurs ébats
Et que du bout de leurs seins vides
Elles fassent des biberons
Bientôt durs comme béton
…………………………………………
Plus tard elles aimèrent bien
Que je leur conte des histoires
Des contes des poèmes, voire
Des radotages _ ne pensez rien _!
Mais depuis que les écolos
Font promotion pour le vélo,
Elles se contentent de leur vibro
Qui sous la selle, les monte si… haut!
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