C’est l’histoire d’un Eden tranquille
Qui devient pendant une semaine
La proie de tapageurs futiles
Aux fumées on ne peut plus malsaines.
Au volant de bolides débridés
Ils vont explorer les collines
Pour reconnaître les difficultés
D’un parcours qui hallucine…
Ici la route est barrée
Ailleurs l’étroite déviation
Oblige cent fois à se garer
Pour circuler avec circonspection.
Et du matin au soir tombant
On entend vrombir les moteurs
Et du haut du ciel, volants,
Les hélicos ajoutent à l’horreur.