On est parfois très déçu
Quand une salle/ une ville, rend hommage
A un chanteur (ou une chanteuse) disparu :
Parfois le nom de la vedette _otage_
N’est qu’un alibi et peu de ses réussites
Sont offerts au public…Ou de telle manière,
Avec des percussions qui, les paroles évitent
Au point qu’on a envie de jeter des pierres.
A Chirens, rien de tout cela!
Les deux chanteurs*,chacun à sa façon
Se sont fondus dans l’esprit de Jean Ferrat.
L’un faisait passer la fougue et la passion
La force de l’auteur de la montagne
Par la voix, mais, en plus, le langage du corps,
L’autre respectueux de la façon de se présenter
Devant le micro de l’artiste… Très fort!
Par inflexions subtiles, à chaque instant souligner
La poésie de l’oeuvre valeureuse.
Tout cela dans une ambiance chaleureuse,
Celle que je croyais disparue,
Celle que, jeune, je connus,
Dans les MJC du temps de leur début.
*Jean Louis Cassarino et Alain Rossi.
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