Malgré le gel hydroalcoolique
Il a toujours la colique.
Devrait se faire du mouron,
Boire eau chaude et citron.
Arrêter le petit lait
De son esprit aigrelet.
Diluer l’argile blanche
Dans son verre de gnôle blanche.
Boucher son triste cloaque
Irrité par la barbaque
Avec banane bien mûre.
Se laver les mains c’est sûr.
Depuis bientôt quarante ans
Qu’il tapisse de son excrément
Les trottoirs des manants
Pour défendre les puissants,
Qu’il soit mis aux pommes de terre
A l’eau, comme la misère.
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