Il pousse paraît-il des cris
L’ennemi (?) fourbe de la finance
Qui s’était, magouille, introduit
Dans un grand élan de France,
Celui qui, aussitôt qu’élu,
Oubliant toutes ses promesses,
Flanqué d’une hurluberlue
Sans la moindre finesse,
Hélas! Fut la triste risée
De la France éberluée…
Quand on fut le fossoyeur
De ce qui fut un grand parti
Un grand parti rassembleur
Comme un jeu d’origami
Quand un installa au nid
Le coucou qui la portée mine
Qu’on le laissa tisser, oui!
La toile d’araignée pas fine
En rester même ébloui
Au point de ne point le combattre
On est mal placé je crois
Pour chercher à abattre
Le sursaut de cette foi
En la gauche pour voter lois!
La gauche est morte depuis un bail !
Dernière publication sur Victoryne Moqkeuz Eructeuse : Chô chô mage chômage ras le bol
Elle bouge encore!
Il faudrait s’entendre sur ce qu’on appelle gauche.