Quand je militais pour la jeunesse
Dans la maison juste dédiée
A leurs ébats, à leurs prouesses
Nous organisions des soirées
Soirée poèmes soufflés par la brise.
Par l’amour brûlant en secret
Dans un décor toujours surprise
Créé pour la soirée exprès:
Fausse fontaine, monceau de foin,
Avec parfois un jeu de piste
De spectateur, n’y avait point.
Et lorsqu’était débusquée la liste
C’était le moment de déclamer.
Parfois un auteur à un autre
Demandait de son texte présenter
Nos nous sentions les apôtres
D’autres manière de s’exprimer.
ça devait être vraiment sympathique !
J’en garde de merveilleux souvenirs