Quelques-uns de mes souvenirs
Un quoi d’après vous?
Un jeune dévalise un vieux
C’est un voyou!
C’est un voyou!
Macron fait la poche des vieux….
C’est un quoi, d’après vous?
Un jeune rackette un étudiant
C’est un voyou!
C’est un voyou!
Macron rabote les étudiants
C’est un quoi, d’après vous?
Cet article a été posté le Vendredi 15 septembre 2017
FAINEANT (2)
Lundi 30 octobre 2017
J’entends ce mot aujourd’hui,
Ni maladroit, ni fortuit,
Dans la bouche d’un individu,
Qui, peut-être élève assidu,
A des mains blanches et sans cal,
Qui n’a jamais fait de béton,
Qui ne sait pas ce qu’est le mal
Resssenti après les pressions
D’un patron jamais satisfait:
Il ne connaît que les palais!
Ah! Voyons! Quel mépris
A l’égard des travailleurs!
Ils ne sont peut-être pas bien mis
Ne portent pas des costumes chers
Mais ils sont solidaires.
Ces gens de rien, ces illettrés
Il devrait bien s’en méfier:
A trop souvent les humilier,
Les paisibles taurillons
Deviennent des taureaux furieux.
Ceux qu’il considère comme des moutons
Sous ses insultes à qui mieux-mieux
En lions pourraient se transformer
De lui ne faire qu’une bouchée.
Pot de départ
Mardi 17 octobre 2017
Au pot de départ de Macron,
J’apporterai un bouquet de chardons,
Non pas pour foutre le bordel
Mais au nom du fainéant modèle,
Qui travailla toute sa vie
Et exige respect de lui.
Au pot de départ de Macron
Je lui offrirai les épines
Qu’il s’est ingénié nom de nom
A nous planter le long de l’échine.
C’est le cadeau de l’illéttré
Qui a bien lu ses décisions:
« Sus aux vieux: pas de danger,
Ne feront pas révolution
Avec des cannes, des chaises percées! »
Au pot de départ de Macron
Je lui verserai un verre de fiel
De celui que, sans émotion,
Il nous fait croire nectar du ciel..
Je cracherai au fond de l’auge
Où il sera prié de boire
Au milieu des rats qui pataugent
Et des crapauds du désespoir.
Tous les disciples de Mercure
Qui soi-disant réussissent
Et qui des gens de rien n’ont cure
Voudront me hacher en saucisses
Mais moi, imperturbable
Je tendrai mon bouquet piquant
Et tant pis si, sur mon râble
S’acharneront les malfaisants!