Réforme dans l’Education Nationale?
A l’heure où beaucoup de discussions tournent autour de « réforme » dans l’Education Nationale », un blog me paraît intéressant pour nourrir les réflexions personnelles.
Je vous en donne les références: c’est le blog de Bernard Collot
education3.canalblog.com
Cet article a été posté le Jeudi 21 mai 2015
Il était une fois un « petit garçon »
N’avait jamais été troufion
Et voulait donner des leçons
A un valeureux général…
Il ne voyait pas le mal:
Exagérait: l’autre était loyal…
A peine plus mûr, il réitère
Venant poser des jugements
On ne peut vraiment plus sévère
Sur les faits d’anciens régiments…
Rouvrir les plaies des blessés
Exhumer les sorts, les amnistiés…
En mettant les pieds dans le plat
La triste guerre que voilà!
Les plaies qui purulent encore
Exhalent l’odeur de la mort.
Un texte qui m’interpelle!
Francesco Muzzi
28 septembre, 10:01 ·
Liu Hu est journaliste chinois. Comme tous ses concitoyens, il ne peut pas bouger sans son QR code. Depuis plusieurs années, ce dispositif est indispensable pour faire ses courses, se rendre au bureau, aller au restaurant, au cinéma, se déplacer en ville, voyager…
En 2017, Liu Hu a exagéré : dans un article, il a dénoncé la corruption au sein du gouvernement. Cela lui a coûté une condamnation et une amende.
Mais ce n’est pas tout.
Peu de temps après, il s’est soudainement rendu compte qu’il ne pouvait plus acheter un billet d’avion. Le système vient de le rejeter. Pareil pour les billets de train.
Ensuite, il a découvert qu’il ne pouvait obtenir un prêt d’aucune banque, et même interdit l’achat de propriété.
D ‘ autres comme lui, pour s’être un peu trop exprimés sur les réseaux sociaux, ont été empêchés de louer, d’occuper des emplois particuliers. Ils ont même vu leurs comptes bancaires gelés.
Parfois, il leur est interdit de participer à des manifestations ou des assemblées. Et comme il est impossible d’accéder à certaines artères sans présenter son code QR, ils seraient immédiatement repérés et lourdement sanctionnés.
Heureusement, on ne peut pas imaginer une seule seconde qu’une telle chose soit possible ici chez nous..
Hélas! nous sommes sur la voie… Et la volonté de prolonger le passe sanitaire fait partie de cette eau froide qui se réchauffe peu à peu et dans laquelle la grenouille finit CUITE.
De loin on dirait des perles
Eparpillées dans le jardin
Simple erreur, ce sont des merles!
Que cherchent ces grands malins?
Il est pourtant bien passé
Le temps des cerises mûres
Septembre vient de trépasser
L’hiver approche à coup sûr!
Mais sur le bord une treille
Couverte de raisins noirs
A leur fin regard qui veille
Fait office de présentoir.
Mer.e! Mer.e! Mer.e!
Avant que les fruits ne se perdent
Il va falloir vendanger
Sinon vont tous les manger.
Il poussait, il y a longtemps
Dans l’Agau°, au creux du champ,
Des champignons étonnants:
Ils étaient ronds
Comme des ballons…
Imaginez des vesces de loup
Mais pas de poussière en vieillissant…
L’intérieur paraissait mou
Un peu spongieux, blanc.
Gros comme des citrouilles!
Certains en avaient la trouille
Mais tous savaient, dans le quartier
Comment, à la poêle les préparer:
Découper en fines lamelles
Faire « rendre l’eau » dans une gamelle
Avec du beurre, assaisonner…
C’était délices pour maisonnée.
Je suis passé, récemment
Près des anciens ronds de sorcière
Les champignons si bons naguère
Ont disparu maintenant…
Parions que des ignorants….
L’Agau: origine… peut-être zone d’écoulement du trop plein d’une citerne???
A la lune nouvelle
Méfie-toi bien paysan
Le foin né de ta javelle
Aigrira bien prestement
A la lune nouvelle
De confitures ne fais point
Je te la baille belle
Seraient bonnes pour les babouins.
A lune noire, si tu ferres
ton cheval
Il te faudra bien plus vite
Convoquer le maréchal
La lune, la pousse excite
J’ai connu toute mon enfance
Ces bonnes recommandations
Même si, lorsque j’y pense
C’est peut-être superstition
Je respecte avec prudence
Ce genre de prédictions
Libre aux autres, la médisance
Je me moque de leur onction.
Le bon vermifuge…
Ah! le bon vermifuge Lune
L’était sorti de ma mémoire !
Chaque mois à nouvelle lune
Je me devais cuillère en boire.
C’est qu’à la ferme, dans l’étable
On côtoyait toute vermine
Et on tenait pour responsable
Les oxyures ces bêtes fines
De tous les maux des enfants.
Quand le toubib se pointait
Son odeur de désinfectant
Toute la maison empestait
A part cela rien d’important.
Les « crises d’acétone »
Diagnostiquées très souvent
Par le vieux docteur du village
Avaient emporté brutalement
Trois enfants du voisinage…
Faut bien dire qu’à cette époque
Mourir enfant c’était courant
Faut bien dire qu’à cette époque
Médecin c’était pour mourant.
On préférait les patenôtres
Le remède, c’était les neuvaines
Les charlatans, passeurs et autres
Vendeurs de calembredaines.
Y avait aussi pélerinage
A La Salette ou la Louvesc
Lourdes c’était très long voyage
Mais si besoin, on le ferait.
C’est un conte très ancien
Qui raconte aux gens intelligents
L’histoire d’un cerf-volant
Qui fut perdu corps et bien.
Tout était bien, tout était beau
Le vent, la brise, le portaient.
Il montait de plus en plus haut,
Les astres, il visait.
Mais ce fil, déplorait-il,
Quel dommage qu’il soit là!
Mon vol tellement subtil
Me porterait dans l’au-delà.
Eole, entendant cela,
Un ouragan déchaina.
Le fil fut rapidement coupé,
Le cerf-volant déchiré,
Ecrasé et piétiné.
Certains, ayant brisé les chaines
Du politiquement correct
Se félicitent de leur veine:
Ils rallient les amis de l’abject,
Mais comme le faux oiseau
Au sol bien sûr vont s’écraser
Plus leur vol aura été haut
Plus dans la chute seront embrasés.
Encore? Encore? ENCORE?
Jusqu’à notre mort?
PROLONGER
PROLONGER
PROLONGER
Ils veulent toujours prolonger
Le fameux passe sanitaire
Leurs petits pouvoirs d’opprimer
Avec des milices auxiliaires…
Quand le fameux faux policier
Soutenu au plus haut lieu
Se donnait des droits usurpés
Il recevait l’onction du « Dieu »…
Certes, oui, cette fois-là,
Le scandale fut si grand
Qu’à part un coffre-fort
La justice leur a donné tort.
Attention! Si par malheur
Par inattention taciturne
Par abstention ou langueur
Leur noms ressortaient des urnes
Ils n’auraient plus de limite
Dans leurs tristes débordements
L’arbitraire serait à l’invite
L’oppression aurait son firmament.
Privés du droit d’encore prolonger
Ils s’arrogeraient l’éternité.