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MERCI!!!!! je suis très flatté
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MERCI!!!!! je suis très flatté
Oh! Mais puisqu’on vous l’assure,
Vous ne craignez pas grand chose,
Tout au plus, par démesure,
Toucher un cargo et qu’il explose.
Ben voyons! Il fallait bien,
Pour marquer notre puissance,
Que nous jetions dans l’espace aérien
Un engin de grande importance!
Si cela fait des dégâts,
Nous serons navrés, c’est sûr!
Mais de l’omelette on n’a pas
En faisant cuire des oeufs durs.
Nos déchets aléatoires
Vont en rejoindre bien d’autres
Qui n’ont pas tant fait d’histoires
Lorsque ce furent les vôtres.
Dans la banlieue de Nantes
Y avait des occupants
Une bande battante
De squatters résistants…
Pour empêcher l’aéroport Quelles décharges,
Les avions de décoller sauvages
Une zone d’activités et que de saletés
De trafic, de transport, Quand ils s’en sont allés!
En gros de vitalité…
Dans village de Roybon,
Un peu triste, moribond, Comme là où ils s’installent
Ils se sont groupés d’avance cabanes et détritus
Pour bloquer un projet en voilà en veux-tu!
De village de vacances . Quand ils se sont faits la malle
Zone humide, tel était le sujet.
Quelque part en Normandie
Prés salés
Bergerie installée,
Les écolos ont brandi
La loi littoral: partez!
Idem à Marseillan
Pour cette ferme d’élevage
Les verts nonobstant
Pas de contrat de fermage
PARTEZ!!!!
Concluez par vous-mêmes
Ces gens veulent tuer
La moindre activité.
La seule chose qu’ils aiment
C’est jeteurs de saletés.
A plonger
Echevelée
Dans l’océan de l’inconnu
Qu’as-tu vu
Entraperçu
Pour sauter les yeux fermés?
L’horizon
A rutilé
Mais c’est piège, attention!
Les requins
Au nez très fin
Tous vers toi vont se ruer
Tu pourrais
Pour une bouchée
Eveiller leur intérêt
Ton impulsion
Pour l’aventure
Te projette dans l’action
Tellement sûre
De réussir
Rien ne peut te retenir!
Va donc!
C’était une nuit comme les autres
Dans la ville sans patrouille de France
Où règnent les verts apôtres
Dans le fantasme de leurs transes.
Interdite la vente d’alcool
Sur les grands axes de métropole…
Dans la ville moribonde
Où l’austérité est sur le trône
C’était la nuit, la nuit profonde…
Pas de rave aux rives du Rhône,
Pas de musique intempestive,
Pas de moteur qui ronronne,
Population triste et passive,
Sommeil aussi le long de Saône…
Et puis, soudain, des pétarades
Comme une rencontre interlope
Entre de « gentils » camarades
Rivaux pour un marché de dope…
Mais du côté de la Guillotière
Le ciel s’embrase en féérie,
Pour une jolie fête des lumières
Certains se renfrognent, moi, j’en ris!
Et je préfère les mortiers d’artifice
Tirés en l’air pour attirer l’attention
Que lancés sur les forces de police
Sans la moindre des raisons.
Il y eut naguère la réaction des « fainéants
De ces « gens de rien » toisés noblement
Humiliés pour longtemps
Il faut savoir parfois
Que la vengeance se mange à froid…
Irresponsabilité de DRH déconnectés?
Sûr que, de 2017, les députés
Qui ont cru bon de jeter en pâture
Des propos qui en bonne augure
Devaient rester en zone d’aparté,
Doivent, aujourd’hui, se mordre les doigts
D’avoir déclenché la réaction
Du matamore qui dans sa foi
Se voyait seul Maître de la Nation…
Quand on n’a jamais eu un grade
Il aurait beaucoup mieux valu
Eviter de bondir sur l’estrade
Et de clamer comme m’as-tu-vu
Je suis le Maitre des horloges
Celui dont la volonté abroge
Cela déclencha des humiliations
Qui en d’autres temps se seraient réglées
Avec une épée sur le pré…
De nos jours la situation
En fermentant est plus compliquée!
Ne jamais sous-estimer
Ce que peut être la réaction
Des humiliés!
Dans la politique tambouille
Des sardines phocéennes,
Pas claire serait la ratatouille?
Inutile de se donner la peine
De chercher de quels ingrédients
Est issu le drôle de tian!
Une Maire élue qui s’envole,
Des procès à n’en plus finir,
Des politiques qui extrapolent,
Car l’essentiel est de tenir…
Au plus loin dans mes souvenirs,
Dans les eaux troubles du vieux port,
S’agitent de drôles de menhirs,
La sardine qui, du filet, ressort.
Avec beaucoup d’ail et d’épices,
Les odeurs quelque peu suspectes
Seront présentées comme délice,
Et que personne ne les inspecte!
Tambouille, tambouille, ratatouille
Qui s’en approche se mouille!
Tambouille, tambouille, ratatouille
Gardez les mains dans vos fouilles.
Il y a maintenant sept lustres
Des politiques inspirés
A propos d’un virus non maîtrisé
Traitèrent ministres comme rustres
En décidant contre eux d’ester…
Je vois aujourd’hui des ministres
Prendre des mines sinistres
Parce qu’eux aussi sont accusés.
Rappelons-leur, à ces apôtres
Ces psalmodieurs de patenôtres
Que c’est leur parti qui naguère
Encouragea ce type de guerre…
Hier Paris, aujourd’hui Strasbourg…
Quand la croyance va à rebours….
Il me semblait avoir compris
Que dans l’éco-idéologie
Tous les animaux faisaient partie
De la protection infinie…
Ces prédateurs de longtemps bannis
Les ours, les loups et tutti quanti
Avaient droit à la protection
Sans la moindre hésitation.
Il est vrai que ces bons apôtres
Ont déclaré guerre aux éleveurs
Dans la psalmodie des patenôtres
Figure la gloire des égorgeurs…
Mais il suffit qu’un petit insecte
Vienne se nicher dans leur lit
On oublie la foi de la secte
Mort aux punaises! C’est l’hallali!
Il suffit que quelques rongeurs
Viennent bouffer leurs nu-pieds
Ce sont chez eux des cris d’horreur
On cherche à les éliminer!
En somme ce qui gêne les autres
Doit à tout prix être glorifié
Mais qu’on ne touche pas à « ça nôtre »
Sinon vous serez crucifiés!