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Archive pour novembre 2020

Pétrouchka

Lundi 16 novembre 2020

Paroles de la comptine :

Petrouchka ne pleure pas
Entre vite dans la ronde
Fais danser tes nattes blondes !
Ton petit chat reviendra                      La CoVID ça passera
Il s’est fait polichinelle                        Et tous les Pinocchio
Dans les chemises en dentelles         Des installations audio
de ton grand papa                                On découvrira
Tant que chante la colombe
par dessus le toit
Danse avant que la nuit tombe
jolie Petrouchka
Petrouchka ne pleure pas
Mets ton grand fichu de laine
Viens avec nous dans la plaine
Ton petit chat reviendra                   La COVID ça passera
Il fait quatre galipettes                     Après quatre confinettes
Se déguise en marionnette              Pour toutes les marionnettes
Dès que tu t’en vas                            Adieu nous dira
Petrouchka ne pleure pas
Puisqu’il aime la musique
Chante lui cet air magique
Ton petit chat reviendra                  La COVID, elle partira
Il nous dansera peut-être                Elle se cachera peut-être
Sur le bord de la fenêtre                  Pour frapper à la fenêtre
Une mazurka                                     Vaccin es-tu là?

 

I have a dream…

Dimanche 15 novembre 2020

Non! Ce n’est pas du plagiat…

Je rêve de transparence

Dans les informations, voilà!

 

Quand un ou l’autre journaliste

Invite un super spécialiste

Je veux savoir par avance

 

Je veux savoir s’il émarge

En dehors de sa charge

Aux dividendes de quelque trust

 

Bien sûr ce serait le « must »

Et les communications

D’honnêteté auraient ration.

Informations pas fausses mais…

Dimanche 15 novembre 2020

Les spécialistes des mensonges,

Au mieux des demi-vérités

N’aiment pas trop que, comme en songe,

Certains rapprochent des faits isolés.

Certains sont des rouages, peut-être

Inconscients, d’une mécanique bien huilée,

Par des médias aux mains de maîtres

Qui dictent ce qu’on doit distiller.

Ah! oui! c’est vrai, le populisme

Qui a marché pour clouer au mur

Est usé maintenant c’est sûr

Ils crient au conspirationnisme

(C’est le propre de l’hypocrisie

Confondue de crier au scandale

Quand, au fond de la sacristie,

L’enfant de choeur dit « Ca fait mal! »)

Certains d’être à l’abri, pour EUX:

Tout est cloisonné, par précaution.

Sont outrés qu’on dise que deux et deux

Font quatre en fin d’addition!

J’ignore si « hold-up » a raison…

Mais à voir le déchaînement

Des médiatiques protestations

Je garde pour moi mon raisonnement.

Dans mon jardin

Samedi 14 novembre 2020

Dans mon jardin, savez-vous quoi qu’y a?

 

Y a un poirier pas plus haut que Balin

Mais dont les fruits sont plus gros que mon poing

 

Dans mon jardin, savez-vous quoi qu’y a?

 

Y a des cerisiers qui sont si indulgents

Que les oiseaux s’y repaissent tout le temps

 

Dans mon jardin, savez-vous quoi qu’y a?

 

 

 

Des framboisiers en bouquets dispersés

En juin de beaux fruits sont chargés

 

Dans mon jardin, savez-vous quoi qu’y a?

 

 

Quelques salades un peu trop tard plantées

Vertes de peur de voir gel arriver

 

Dans mon jardin, savez-vous quoi qu’y a?

 

 

Dans un grand coin appelé bouquetier

Des iris bleus, jaunes, ou  chamarrés

 

Dans mon jardin, savez-vous quoi qu’y a?

 

Les oeillets de poètes  chaque année ont envahi

Un espace libre, toujours indéfini

 

Dans mon jardin, savez-vous quoi qu’y a?

 

Ya des fraisiers qui en font à leur tête

N’ont rien donné, je les arracherai peut-être

 

Dans mon jardin, savez-vous quoi qu’y a?

 

Après récolte, souvent de pas grand chose

Je nettoie et pour que terre se repose

 

Dans mon jardin, savez-vous quoi qu’y a?

 

J’étends des bâches, l’herbe sera étouffée

Au printemps ce sera facile de bêcher

Petite histoire de placard

Jeudi 12 novembre 2020

(A propos d’un fait divers)

 

Fonctionnaire dans une mairie

Certains pensent c’est pour la vie…

Tant qu’est en place le maire,

Les responsabilités sont claires,

Chacun se tient à son travail

Tel que défini au sérail.

Mais voilà que, d’aventure,

Les élections tournent court.

Maire battu, cela est dur!

Autre personne avec sa cour.

Les partisans avérés

De l’ancien fonctionnement

De se faire  muter sont priés

Mais voilà, entêtement…

De toute responsabilité

Le résistant est déchargé

C’est dit-on le placard!

Obligé d’être présent

Absolument sans retard,

Etre épié à chaque instant,

Sans avoir aucun travail.

Tourne en rond dans le bureau

Comme vulgaire volaille,

Peigner la girafe, c’est bien beau,

Mais l’ennui prend le dessus!

Blagues sur internet, échanger

Finalement, on n’en peut plus.

Des gens bien (?) intentionnés

Par malice vous appâtent

Sur quelque site pervers…

Vous y glissez une patte

Mais comme tout va de travers

Vous perdez un peu la raison

Stop! Vous voilà à la maison!

 

 

 

 

 

 

 

 

Dans le confinement

Mercredi 11 novembre 2020

Au cours du confinement,

Méfiez-vous braves gens!

Si vous parlez aux pots,

Sont sourds, ne pipent pas mot.

Si vous parlez aux plantes,

(Elles aiment qu’on les complimente)

Certaines rosissent d’émoi

Quand on leur déclare sa foi,

Ouvrent grand les écoutilles

On voit gonfler leurs chevilles…

Mais pour les murs attention!

Ils ont des oreilles, ils ont

Des écouteurs indiscrets,

Envoyés par votre patron,

Par les services secrets…

Vous pourriez être inquiété

Pour une blague mal digérée!

 

Radotage: les déserteurs

Mercredi 11 novembre 2020

Les déserteurs

Il y a bien longtemps, ma première rencontre avec les forces de l’ordre, fut la conséquence d’une gaminerie: avoir collé « PAIX EN ALGERIE » sur »ENGAGEZ-VOUS DANS LA LEGION »… Pris, bien sûr aussitôt, la nuit passée dans le commissariat, où des agents très actifs corporellement parlant, tentèrent de nous faire dire que nous étions en relation avec des réseaux de désertion fut la plus horrible de ma vie.

Au temps de mon enfance, j’ai appris que la désertion devant l’ennemi était passible du peloton d’éxécution…

A l’époque, je trouvais, en mon for intérieur, que fuir pour sauver sa peau ne méritait pas une peine aussi lourde. J’avais de la peine à rassembler les morceaux de la réflexion qui menait à cette décision. J’ai compris plus tard que la fuite de quelques uns était la mort certaine de tous les autres. J’ai donc intégré l’idée que la désertion méritait la peine de mort… Ou l’équivalent, car le sang du billot tache profondément le sol de l’échafaud.

Le monde dans lequel je vis, je ne le comprends plus: nos élites nous disent depuis des quarante ans que nous sommes dans une guerre économique… Mais AUCUNE n’a tiré les conséquences de cette affirmation largement acceptée.

Comment appeler la personne qui « passe à l’ennemi », va servir le pays opposé?

La première façon de trahir le pays, est de passer dans les rangs ennemis en emportant ses armes… Est-ce autre chose que font les « délocalisateurs  » de nos usines?

La deuxième façon est de quitter le pays pour se soustraire au combat… Que font donc ces Français qui passent en SUISSE ou en BELGIQUE pour éviter de contribuer à l’effort de guerre?

La troisième façon de trahir, est d’apporter ses compétences à l’adversaire… Que font ces Français qui, parce qu’ils GAGNERONT PLUS, vont travailler dans des pays concurrents? (je ne désigne pas ici ceux dont la compétence, par défaillance de nos gouvernants, n’ont trouvé AUCUN EMPLOI en FRANCE)

Certains trouvent aujourd’hui normal que ces déserteurs soient accueillis avec honneurs quand ils remettent le pied en France …PIRE! certains même les paient avec les deniers du pays auquel ils ne contribuent pas pour venir les divertir dans leurs palais…

JE NE COMPRENDS PAS!

Qu’au moins, puisque la démangeaison de priver de nationalité certains auteurs de forfaits chatouille certains que cela s’applique aux DESERTEURS!!

Cet article a été posté le Dimanche 6 mars 2011

Pyrénées

Mercredi 11 novembre 2020

 Les Montagnards ( André Dassary)

Montagnes Pyrénées
Vous êtes mes amours
Cabanes fortunées
Vous me plairez toujours
Rien n’est si beau que ma patrie
Rien ne plaît tant à mon amie
Ô montagnards, ô montagnards
Chantez en chœur, chantez en chœur
De mon pays, de mon pays
La paix et le bonheur
Ah !{Refrain:}
Halte là ! Halte là ! Halte là !
Les montagnards, les montagnards
Halte là ! Halte là ! Halte là !
Les montagnards, les montagnards
Les montagnards sont là !Laisse là tes montagnes
Disait un étranger
Suis-moi dans mes campagnes
Viens, ne sois plus berger
Jamais, jamais, quelle folie !
Je suis heureux dans cette vie
J’ai ma ceinture, j’ai ma ceinture
Et mon béret, et mon béret
Mes chants joyeux, mes chants joyeux
Ma mie et mon chalet{au Refrain}Sur la cime argentée
De ces pics orageux
La nature domptée
Favorise nos jeux
Vers les glaciers d’un plomb rapide
J’atteins souvent l’ours intrépide
Et sur les monts, et sur les monts
Plus d’une fois, plus d’une fois
J’ai devancé, j’ai devancé
La course du chamois

{au Refrain}

Déjà dans la vallée
Tout est silencieux
La montagne voilée
Se dérobe à nos yeux.
On n’entend plus dans la nuit sombre
Que le torrent mugir dans l’ombre
Ô montagnards, ô montagnards
Chantez plus bas, chantez plus bas
Thérèse dort, Thérèse dort
Ne la réveillons pas !

Merci à mes visiteurs

Mardi 10 novembre 2020

Merci à mes visiteurs:  hier, vous fûtes 834 à Faire un passage rapide (hits)  dont 581 à visiter le radeau.

Je suis très flatté.

MERCI! MERCI!

MERCI!

Ma Normandie

Lundi 9 novembre 2020

Parmi les chants que j’ai appris,

Figurait « Ma Normandie »

J’ignore pourquoi il me faisait vibrer

Mais c’est ainsi.

C’est pourquoi je l’ai entonné

Na! Na! Je te fais la nique!

Au premier cours de musique

A l’E N à la rentrée.

La prof en fut très surprise:

Ce texte n’était pas de mise

Elle attendait une chanson

Du répertoire

OBLIGATOIRE

Lors du concours d’admission.

 

 

Quand tout renaît à l’espérance,
Et que l’hiver fuit loin de nous,
Sous le beau ciel de notre France
Quand le soleil revient plus doux,
Quand la nature est reverdie,
Quand l’hirondelle est de retour,
J’aime à revoir ma Normandie,
C’est le pays qui m’a donné le jour.

J’ai vu les lacs de l’Helvétie
Et ses chalets et ses glaciers ;
J’ai vu le ciel de l’Italie,
Et Venise et ses gondoliers ;
En saluant chaque patrie,
Je me disais : « Aucun séjour
N’est plus beau que ma Normandie

C’est le pays qui m’a donné le jour.

Il est un âge dans la vie
Où chaque rêve doit finir,
Un âge où l’âme recueillie
A besoin de se souvenir :
Lorsque ma muse refroidie
Aura fini ses chants d’amour,
J’irai revoir ma Normandie,
C’est le pays qui m’a donné le jour.

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