Je suis fragile, savez-vous
Je n’aime pas les courants d’air.
Pardonnez-moi, mon père,
Pour les prières à genoux,
Ca m’est vraiment impossible,
Je préfère psalmodier debout.
Voyons restez impassible
Ne me trainez pas dans la boue.
J’aurais, dites-vous, baisé la terre
Devant de splendides déesses?
Je n’en fais pas mystère.
Je ne vais plus à la messe.
Ne soyez donc pas jaloux,
Mais, devant beauté et jeunesse,
C’est réellement de faiblesse
Que je sens plier mes genoux.
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