Comme des loups en meute
D’une proie facile sont à l’affût
Ils rôdent, ils veillent, ils zieutent
Le pauvre isolé, sautent dessus.
Toujours toujours sur le moins fort
Cherchent pleutres à se défouler
Car les caïds, les voyous sont trop forts
Si on ose s’y confronter.
Préfèrent toujours les coins sombres
Voire les cages d’escaliers
Les rues peu fréquentées, dans l’ombre,
Pour, à coeur joie, s’en donner.
Pour une fois qu’ils furent imprudents
Combien d’autres méfaits semblables
Sans objectifs surveillants
Trouvent une issue insupportable?
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour rédiger un commentaire.