Lorsque j’étais jeune,
Fierté de coq peut-être
Au travail à me mettre
Et dans tous les domaines
Je n’avais aucune peine.
La faux, la houe, la bêche,
Aiguille, marteau, alène,
Réparer la calèche,
Prendre en main la truelle,
Ce n’est pas être rustre!
Manier pioche et pelle
Remuer le béton,
Couler de beaux balustres,
Réparer la maison,
En changer la déco…
Aussi régler delco
Démonter une boite
Trouver dans les rouages
Où est la dent qui boite
Sans vouloir faire ombrage
A l’ébéniste artiste
Scier, poncer, assembler,
Le bois qui, sec, est triste
Sans chercher à égaler
Le maître-forgeron
Sur le plat de l’enclume
Sortant du feu qui fume
Redresser un gond…
Maintenant, je suis vieux
Appeler l’artisan,
Il paraît qu’il vaut mieux
Supporter ses caprices
Et ses atermoiements
Fermer les yeux sur vice
Se taire comme un vieux con…
On me dit que c’est BON!
Se taire ? Toi ? Bon courage !
Dernière publication sur Victoryne Moqkeuz Eructeuse : Intérêt particulier
Ben oui!
bonne journée à toi
Tu as été chanceux papa et a ton age il faut mettre les choses à plat. Faire les choses à son rythme et ne se lasser des rimes. Qui nous font du bien du soir au matin. Metci
merci, mon fils