Tu avais l’âge de ma petite-fille
Le coeur plein de rêves et d’espoirs
Tu étais joie dans ta famille
Qui t’attendait l’autre soir.
Quand j’ai lu l’appel de détresse
Sur Facebook, de ta soeur,
J’ai relayé, parce que ça presse
En espérant: fugue de coeur…
Je ne sais pas quelle ordure
Indigne du titre d’humain
T’a jetée morte dans la nature
Je voudrais l’étrangler de mes mains.
Repose en paix jolie déesse
Je pleure au milieu des tiens
Dont je partage la détresse
Devant le sort qui fut le tien.
C’est affreux !
Tu l’as dit!