A TOI que je ne connaissais pas

Tu avais l’âge de ma petite-fille

Le coeur plein de rêves et d’espoirs

Tu étais joie dans ta famille

Qui t’attendait l’autre soir.

Quand j’ai lu l’appel de détresse

Sur Facebook, de ta soeur,

J’ai relayé, parce que ça presse

En espérant: fugue de coeur…

Je ne sais pas quelle ordure

Indigne du titre d’humain

T’a jetée morte dans la nature

Je voudrais l’étrangler de mes mains.

Repose en paix jolie déesse

Je pleure au milieu des tiens

Dont je partage la détresse

Devant le sort qui fut le tien.

 

2 Réponses à “A TOI que je ne connaissais pas”

  1. Mireille dit :

    C’est affreux !

Laisser un commentaire