Tu pleures ta fille, pauvre maman….
Partie trop tôt, sans crier gare,
On disait que les jeunes, pourtant,
Quand les vieux partaient dare-dare
Ne craignaient rien, en tous cas très peu…
C’est notre fille à tous qu’on pleure!
Partager on ne peut pas mieux.
Clos tous, au fond de nos demeures,
Catastrophés pour elle, pour toi,
Nous te serrons dans nos bras,
Virtuellement, ça va de soi!
Rien, on le sait trop, ne pourra
Consoler si terrible peine,
Mais tous nos cœurs vont vers toi,
Pour former comme une chaîne.