Depuis quelque temps , t’en avais marre
Tu ne montrais plus que tiédeur…
J’entrais, je ressortais le dard,
Plus jamais de cette chaleur
Qui vous fait vibrer de bonheur…
J’avais beau lubrifier tes accès
Te frotter, te polir à l’intérieur
Tripoter ton bouton avec excès
Finalement j’ai dû comprendre
Que pour vaincre ton inertie
Il me faudrait te surprendre
Pour te rendre goût à la vie
Te trouver un autre stimulus
Mon pauvre vieux cumulus.
Incorrigible bricofarceur de poète, merci pour tes coquines rimes qui nous donnent le sourire !
Bisous Gérard et douce soirée.
Tu as ri! j’en suis ravi!