Il a des pectoraux fermes,
Des biceps gonflés,
Il a aussi deux poings énormes,
Comme des boulets.
En le contemplant les filles
Se sentent mouillées,
Mine de rien leurs quilles,
De poils dépouillées,
Sont prêtes à s’écarter,
Au premier soir de bringue,
Quand il leur fait du gringue:
Sont tellement flattées…
Au bout de quelques semaines,
Le beau séducteur
On le croirait à peine
Devient tyran dévastateur,
Et les coups tombent, malheur!
Les poings voulus protecteurs
N’ont vraiment pas de douceur!
On se croit sous protection
On prend des coups de bâton
Il arrive parfois même
Que « protecteur » la mort sème.
Protecteur de son moi surdimensionné ce bourreau des cœurs !
Tout à fait! Mais quel succès!
Hélas !