Parasites (film)

 

Toute la famille de Ki-taek est au chômage, et s’intéresse fortement au train de vie de la richissime famille Park. Un jour, leur fils réussit a` se faire recommander pour donner des cours particuliers d’anglais chez les Park. C’est le début d’un engrenage incontrôlable, dont personne ne sortira véritablement indemne…

Film violent en tous domaines.

Un peu chantre du chacun pour soi sans scrupules excessifs dans le combat pour la survie.

Mensonges trahisons, hypocrisie ont presque des dehors sympathiques.

Richesse montrée comme  » intellectuellement limitée » proie de la confiance dans des réseaux, prête à croire aux superstitions, aux vertus de « soins » pourvu qu’ils soient onéreux…

De belles images de déluge,  de désarroi dans les inondations…

L’humanité retrouve son compte, mais à quel prix!

Il s’agit d’un film coréen, palme d’or à Cannes…

Le choix du jury s’est-il formé sur la présentation épouvantable d’une société dans laquelle des êtres, vivant dans les égouts, mais doués pour les combines peuvent berner des richissimes un peu benêts ?

S’agissait-il politiquement de dire aux Français qu’ils n’ont vraiment pas à se plaindre?

 

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