Ah! Mon Dieu que c’est pénible
De devoir accepter
Que les parias, le populo,
Ouvrent la bouche, chose horrible
Pour ne pas AMEN crier!
Tant que c’était au bistro,
On était à peu près tranquille
Mais ainsi que le dit Eco
Les réseaux soi-disant sociaux
Ont fait sortir en ville
Bruts même s’ils ne sont pas beaux
Les vils (à nos yeux) propos.
Enfin! Enfin! Messieurs-dames
La voix d’un bourgeois vaut plus
Que la pauvre voix d’un quidam
D’un esclave, rien de plus!
Mais voilà que pour être vus
Les invisibles, les néants
Se sont égaillés dans les rues…
Pas au boulot fainéants?
Zont même coupé des routes
Au lieu de les traverser
Ont résisté quoi qu’il en coûte
Aux tirs tendus des policiers.
On dit que dans l’occurrence
Les abris furent explorés
C’est qu’ils avaient des exigences
Tout le beau monde a tremblé.
On entendit des « philosophes »
Hurler dans leur désarroi,
Néant de leur pensée resté sauf,
Toute la vilénie de leur foi.
Pan ! Lu bu approuvé !
Dernière publication sur Victoryne Moqkeuz Eructeuse : EXPLICATIONS
merci!
Bonne journée à toi
bises
Le nanti désigné en son confort perd son élégance,folle devient son éloquence,sa peur ébranle son bonheur,
très bonne journée à toi.
Dernière publication sur Chasseur d'Images Spirituelles : La vie est bien triste à ce jour