Ah! diable que c’est donc pénible
De vivre avec un mari
Qui depuis trente ans est immobile
Maitresse le jour, sa femme la nuit
Qui ne veut rien changer à sa vie.
Ah! diable que c’est donc pénible
D’avoir un amant disponible
Rien que le jour jamais la nuit.
Qui ne veut pas quitter sa femme
Et le soir regarder sa série
C’est un situation infâme
Faudrait que bientôt ce soit fini.
Ah! diable que c’est donc pénible
Que son épouse voit impossible
De partir sans rien emporter
Quand on veut tout pour soi garder.
D’avoir en plus une maîtresse
D’accord avec de belles fesses
Mais trop jeune pour réussir
Jour et nuit à la ravir…
Ah! diable que c’est donc pénible
D’être veuf et solitaire
Quand pharmacien on est la cible
D’une amante totalitaire.
Etre pharmacien de surcroît
Cela remplit les gens de foi
Donne moi donc du poison
Pour mon mari ce sera bon
Si vous me donniez du viagra
Je pourrais tenir le coup…Là!
Après moultes coups de théâtre
Ils nous ont bien tous les quatre
Fait rire à gorge déployée
Oh! Yé!
Agréable soirée!
Il s’en passe dans le village
Merci poète pour cet éclat de rire matinal !
Bisous.
Chut! c’est mon fils qui nous offrait le spectacle… Chance!
Bisous