Veuillez, je vous en prie, madame la journaliste,
Commentatrice hautaine des faits politiques,
Agréer mes vœux, pour 2019, les plus réalistes.
Que la septantième, étape critique
Vous soit exceptionnellement favorable:
Que les jaunes crétins que vous méprisez
Soient voués aux flammes exécrables.
Que celles, puissantes, que vous toisez,
Plongent de honte, dans les douleurs
D’un brûlant, inextinguible, remords
Et qu’ayant enfin vidé votre rancoeur
La retraite vous ouvre un doux sort.
Je ne doute pas un instant
Que l’écho de votre renom,
Cent fois plus longtemps
Que ce pauvre écrivaillon
Qui naguère écrivit
« Napoléon le petit »
Illuminera l’horizon.