L’enfant courait innocemment
Sur le sentier de montagne
Trente mètres devant ses parents
« Je cours plus vite, je gagne! »
Justement, conte magique
On leur avait signalé
Une biche magnifique
Qui, la veille, était passée.
« Sûr qu’elle est dans les parages,
Chut! Il ne faut pas l’affoler »
Mais au détour du virage,
Ce sont deux loups qu’il a trouvés.
Les grands arrivant sur l’heure
N’ont pu que les voir filer,
Mais, seul qui sait quel malheur
Il nous faudrait déplorer?
Ces animaux qui pullulent
Puisqu’ils ne sont pas chassés
Non seulement nous acculent
A cesser les randonnées
Mais c’est un jour peut-être un autre enfant
Qu’ils oseront attaquer
Mais c’est peut-être un autre enfant(le vôtre peut-être?)
Qui mourra éviscéré.
Cette question de la présence du loup est assez complexe.Il y a des arguments pour et d’autres contre.
Il est évident qu’il convient de trouver une solution pour sauvegarder les troupeaux….et les promeneurs.
Ceci étant le loup le plus dangereux c’est l’homme.
La locution latine « homo homini lupus » est toujours d’une criante vérité!!
Les partisans du loup ne le supportent pas…Intellectuellement, la protection se défend… Quand le loup a rôdé à ma porte, j’ai AUSSI changé d’avis.