Pendant que le feu pétille
Imperturbable, Aliboron
Va fouiller sous les brindilles:
Ce feu ce n’est pas l’achéron.
Puisque son maître est tranquille
Il n’y a, sûr, aucun danger,
Brouter sans se faire de bile,
Tel est son programme de la journée.
Et puis, la chaleur des flammes
Est assez douce à supporter:
Ce ne sont pas brûlures de l’âme
Ce n’est qu’un petit brasier.
D’ailleurs, savourer les glands,
Par le gros chêne, abandonnés
Ce n’est pas vraiment un péché!
On ne pourra pas le lui reprocher.
Suis très touchée qu’une de mes modestes photo t’ait inspiré de si jolis vers… MERCI Gérard ! Prochainement, je vais publier un autoportrait
Merci encore poète !! Doux vendredi. Bisous.
L’image était trop belle!
DOUCE JOURNEE A TOI , Julie
bisous