Je ne comprends rien,
Absolument rien de rien,
Vous pouvez me croire
Dans cette drôle d’histoire.
Qu’est donc l’écriture inclusive?
Est-ce une expression lascive?
Est-ce un érotisme des mots
Une variante du porno?
Dans, des sens, le dérèglement
On aboutit à l’essoufflement
Et ce point qui est demandé,
Serait-ce un point de côté?
Je me triture, je me questionne
Devant ce fait qui révolutionne…
Se prenant pour François premier
Edouard zéro a parlé…
Tant pis, moi qui suis obtus,
Je n’en comprend pas plus.
Et puisqu’on veut féminiser
Il faut que mon propos s’achève
Je vais mon stress minimiser:
Je dis « un chef >>une chève »
Lol marrant moi aussi j’ai fait un article sur l’écriture inclusive ce matin ! Bisous !
Dernière publication sur Victoryne Moqkeuz Eructeuse : Intérêt particulier
Je l’ai lu… coupure d’internet sur mon commentaire
Bonne journée
bisous
Tu me rends chèvre à ne pas comprendre !
Bêlement dit mon poète, suis morte de rire La chute est une cheffe d’oeuvre tordante… merci pour ce bienfaisant fou rire matinal, mon prodige de poét-ess-e
Belle journée Gérard. Bisous chèvre chaud.
si tu as ri, ma journée est réussie!
Bisous, Julie!
Belle journée à toi
Voici trois phrases de grands écrivains que j’ai réécrites sous la forme inclusive.
Je pense que tu comprendras l’hystérie du projet:
Proust :
« En réalité, chaque lecteur·rice est quand il·elle lit, le·la propre lecteur·rice de soi-même. » (Le temps retrouvé)
Molière:
« Un·e sot·te savant·e est sot·te plus qu’un·e sot·te ignorant·e. » (Les femmes savantes)
Victor Hugo:
« La moitié d’un·e ami·e, c’est la moitié d’un·e traitre·esse. » (La légende des siècles)
Bien à toi
rions!
Amicalement