J’entends ce mot aujourd’hui,
Ni maladroit, ni fortuit,
Dans la bouche d’un individu,
Qui, peut-être élève assidu,
A des mains blanches et sans cal,
Qui n’a jamais fait de béton,
Qui ne sait pas ce qu’est le mal
Resssenti après les pressions
D’un patron jamais satisfait:
Il ne connaît que les palais!
Ah! Voyons! Quel mépris
A l’égard des travailleurs!
Ils ne sont peut-être pas bien mis
Ne portent pas des costumes chers
Mais ils sont solidaires.
Ces gens de rien, ces illettrés
Il devrait bien s’en méfier:
A trop souvent les humilier,
Les paisibles taurillons
Deviennent des taureaux furieux.
Ceux qu’il considère comme des moutons
Sous ses insultes à qui mieux-mieux
En lions pourraient se transformer
De lui ne faire qu’une bouchée.
Entièrement d’accord avec toi !
Dernière publication sur Victoryne Moqkeuz Eructeuse : Là haut sur la cathédrale l'était son beau palais
merci!
Je pense sincèrement qu’il en faudra plus d’une de bouchée!!!!
Les lions eux peuvent ne faire qu’une bouchée, certes, mais les millions de fourmis dans une fourmilière peuvent aussi faire des dégâts !!!!
Bonne journée à toi
Dernière publication sur chroniques variées : la nouvelle arche de Noé
certainement!
bonne soirée à toi
Miam pour cette bouchée tendre
A mon humble avis, gentil poète… les mottons ne se rebééééééélleront jamais !
Bêlement dit en tout cas, et juste… merci Gérard !
Douce soirée. Bisous.
SAVOIR….
Douce soirée à toi, Julie
bisous béliers
Bien vu.il ne reste plus qu’à passer à l’acte.
ça viendra probablement