Quand j’entends le mot fainéant,
En moi, aussitôt, ressurgit
Ce souvenir de mes six ans:
Ma grand-mère clouée au lit
Dès que le jour s’était pointé
Nous appelait à grands cris
Pour que nous allions vaches garder.
Ma grand-mère, je la maudissais,
J’étais couché, je dormais…
Mais durant sa vie entière
Elle avait labouré, trimé,
Mené la vie d’une fermière.
Par là, elle avait mérité
Le droit sur les autres d’exiger.
Fainéant était son mot préféré
Pour notre orgueil fouetter….
Pareil que ma grand-mère qui travaillait beaucoup… sauf que la mienne – je l’aimais – ne m’as jamais traitée de fainéante bien au contraire… les froides matins d’hiver (souvent -30°C dehors, à peine 12 à l’intérieur), me disait de rester encore au chaud dans l’lit le temps d’allumer le feu pour tempérer la petite pièce…. toute une époque
Bon dimanche mon gentil poète. Bisous courageux
bon dimanche, Julie
autre époque comme tu le dis…
BISOUS sereins
Il arrive parfois que la maladie rende méchant
Oui, je comprends…
Fait néant …
Mais fait quand même !!!!
Rien faire … c’est faire rien, c ‘est donc faire !!!!!
paresse et fainéantise ? quelle différence ????
pour ma part, je préfère me faire traiter de paresseuse !!!!
l’adjectif fainéant m’insupporte, me blesse !!!!
bon we à toi
Dernière publication sur chroniques variées : la nouvelle arche de Noé
Un mot qu’un président en sa profonde sagesse,encore en sa jeunesse, ne devrait prononcé,
très bon dimanche à toi.
Dernière publication sur Chasseur d'Images Spirituelles : La vie est bien triste à ce jour
juste!
bonne soirée à toi
Avec ta grand mère si je comprends bien, selon que les vaches étaient ou non
bien gardées, cela allait de pis en pis ou de meuh en meuh !
Ou plutôt, chaque matin, il y avait le feu!