Comme j’ouvrais à mon chien,
Il partit comme une flèche…
Le rappeler je tentai bien
Mais autant parler à une bêche.
Je m’avançai pour découvrir
Quatre chevreuils égarés
Qu’il forçait à courir
Pour rejoindre les fourrés….
Bien que très mécontent
De cette fugue inopinée,
Croyez que je fus vraiment
Joyeux de revoir enfin
Ces amis inoffensifs
Qui viennent croquer coquins
Les bourgeons dans mes massifs.
Les chasseurs ont bien travaillé
Les loups se sont éloignés.
Comme une flèche…. c’est normal mon poète ! si tu descends que tous les deux mois
bien sûr!