Quand j’entends parler d’ordonnances
Ces édits
Des rois maudits
Je me dis que la pauvre France
De souffrir n’a pas fini.
Certes, un jour, par défaut,
Elle a choisi
Mais à bien regarder il faut
Voir ceci:
Comme le viol conjugal
Jadis fut permis
Sur qui avait dit oui,
Par un tour pseudo-légal,
Pour avoir un jour voté,
Faudra-t-il que le pays
Subisse toutes les lubies
Du potentat désigné?
C’est parti pour cinq longues années… le pire reste donc à venir

Douce journée Gérard, et merci d’avoir publié
Bisous sur ordonnance, à prendre 3/jour et dehors de repas !
merci Julie!
Que douce soit ta semaine!!
Bisous