« Les fantômes d’Ismaël » (film)

Elle était partie, sans laisser de trace
Même pas un mot ni un numéro…
Il l’avait cherchée de rues en palaces
Dans les squatts miteux, dans les hôpitaux
C’était installé un désert de glace
Dans le coeur du père, du mari, plutôt.
Les jours ont passé, il dut faire face
Tout était changé, était veuf trop tôt.
Une semaine, un mois, et même une année
Une année encore avaient défilé…
Au bout de dix ans, morte fut déclarée
Quatre lustres ainsi, se sont écoulés.
Dans la vie du veuf tout désemparé
Quelques aventures s’étaient égrenées
Après bien longtemps, il avait trouvé
Auprès d’une femme, la sérénité.
C’est là qu’elle revint comme fille de l’air
Pour tout chambouler, mettre tout en l’air.

Cet article a été posté le Lundi 22 mai 2017 à 22:52 et est classé dans Non classé. Vous pouvez suivre les réponses à cet article grâce à ce flux RSS 2.0. Vous pouvez laisser une réponse au bas de la page. Les pings ne sont pas autorisés pour l'instant.