Lorsque je sarcle les fraisiers
Je vois notre tata sans cesse
Qui s’affairait dès le lever
A la binette,sans paresse
Je vois notre tata sans cesse
Avec un chapeau de paille
A la binette sans paresse
Tablier serré à la taille.
Avec un chapeau de paille
S’acharner dans les allées
Tablier serré à la taille
Les mauvaises herbes à chasser
S’acharner dans les allées
Qu’importait le chaud ou le froid
Les mauvaises herbes à chasser
Sinon jardin en désarroi
Qu’importait le chaud ou le froid
La terre ,elle, n’attend pas
Sinon jardin en désarroi
Si pas récolte, pas repas
La terre, elle n’attend pas
Dos en compote ou mal de bras
Si pas récolte, pas repas
Faut travailler! ya pas! ya pas!
Dos en compote ou mal de bras
Dans une ferme, c’est comme ça
Faut travailler ! Ya pas! Ya pas!
De choix, il n’y en a pas!
Je revois en te lisant une fermière de mon enfance et me revient le goût de son rata.
Dernière publication sur Leblogdelpapet : Soufflacus
j’en suis content!
Le rythme du poème allège un peu la tâche difficile !!! Superbe…Bises
merci! bonne semaine!
bises
Faut il travailler ou pas la Tata se tâta car avec le dos en compote elle risquait de
tomber dans les pommes.
Son dos était il la tare à tata ?
whaou!