Certain cheval lettré,
Lisant dans « Le bon coin »
Propositions de soins
D’étudiante titrée,
Pensa qu’il serait bon
Que la douce prêtresse
A lui, bon étalon,
Procure ses caresses.
Mais malgré sa devise
« L’animal est une personne »
La dame ne laissa pas prise
À cette nouvelle donne.
Quand d’un geste impérieux
Il posa ses sabots
Sur la « tombée des cieux »,
L’inondant illico
De son sperme laiteux,
Dans sa stupéfaction,
La b elle deux fois cent sept
Révisa son opinion
Et se trouva bien bête
Nos grands père ne disaient ils pas affectueusement à leurs pote
Espèce d’animal ???????
Très belle journée automnale ami poète
Tân
Dernière publication sur chroniques variées : la nouvelle arche de Noé
a partir d’un certain niveau, la priorité aux animaux n’est pas loin de la zoophilie!
C’est vrai, je l’avoue, il m’est arrivé naguère « d’aimer comme une bête »…
Dernière publication sur Leblogdelpapet : Soufflacus
C’est arrivé à tous, un jour ou l’autre.
Mais l’amour d’un étalon pour un être humain a quelque chose spectaculaire.
L’amour de Léo Ferré pour sa guenon Pépée aussi…
Pépé
En me croyant de ta famille
Pépé, tu m’as fait du mal
Je suis devenue ta fille
Perdue pour genre animal
Toi, chantre de l’anarchie
Tu m’as hélas enferrée
A la bête démagogie
Que tu ne pouvais blairer
Pépé, tu aimais trop ma bête
Tu singeais mes mamours
Pire qu’humaine Malbête
En zoophiles amours
J’ai cru que tu étais Dieu
Tu n’étais qu’un bonhomme
Qui m’a plaqué sans adieu
À mon dernier somme
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Merci!