Au travers de la haie,
Je devinais son pas
La déesse montait
La route des Clapas.
Ses cheveux noirs crépus
Son sourire éclatant
Me laissaient éperdu
J’étais comme un enfant.
Alors, dans un élan
Incontrôlable, vrai,
Je me manifestai
Par un léger quatrain.
Il y eut sur le chemin
Un instant merveilleux
De partage serein
De cœurs battants, heureux.
Le bonheur tient a peu de chose !!! Enfin presque !!! Bises
tu as raison!
Douce nuit Gérard. Bisous sous contrôle.
On ne le changera plus!!
bisous Julie.
Que belle soit ta journée
Elle en a eu, de la chance !