Regard fixé au loin, au milieu des épis
Me laisserais-tu, belle déesse
Partager ta vision?
Dans le panier vide du vélo en répit
Je te déposerais une caresse
Pleine de dévotion.
Quand d’un souffle léger tu disperses sans peur
Du dent-de-lion les graines détachées
Et que le temps s’étire
Quand tu es enivrée par le parfum des fleurs
Ou par l’air des montagnes boisées
Je serais ton zéphyr
Elle n’osera refuser ta prière… preux cavalier de mon gentil poète
Bonne soirée Gérard. Bisous tendres.
bonne semaine, Julie.
Tendres bisous
Comment pourrait-elle refuser la caresse du souffle d’un zéphyr ! mais acceptera-t-elle de partager sa vision ?
@angedra: il suffit que ce soit en rêve!