Ah! il faut bien être maso pour aller au cinéma et chialer pendant tout le film!
Non! le film n’était pas triste.
Il avait seulement ce petit goût des choses qui vivent leurs derniers instants.
Il présentait un monde que les moins de vingt ans ne pourraient pas imaginer.
Il témoignait d’un mode de vie et de fonctionnement extra ordinaire…
Certains y verront, y auront vu, un simple documentaire, dont le ressort initial ressemble à une autre oeuvre datant de 2002…
Mais, ce qui fait la grande différence, c’est le regard de dévotion de la documentariste.
Ca change TOUT! Le « MON » du titre annonçait la couleur…
C’est vrai, « Etre et avoir » traitait du même thème, mais il faut voir, au travers de ce film, la différence entre la mission d’enseigner
et la vocation d’émanciper.
Certains aspects de la vie ainsi décrite feraient hurler au scandale nombre de rigoristes.
J’ai eu les larmes aux yeux tout le long du film.
MERCI à Emilie THEROND pour cette réussite.
BRAVO! M. BUREL: vous avez incarné: « AU MAITRE ON SE REFERE »
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