Certains ayatollahs de la cause animale
Se plaisent à hurler en apprenant soudain
Qu’un boeuf à l’opéra subit chaque matin
Les bravos les vivats de cette immense salle.
A bien voir les photos de la bête paisible
Je trouve que leurs cris ne sont pas très crédibles.
Le fils de paysan voit une bête grasse
Donc pas si maltraitée que certains le prétendent:
Quand une tonne un quart veut se faire de la place
Rien ne peut résister les plexiglas se fendent.
Dans la vie d’un boeuf, le choix faut-il le dire,
Est soit de terminer en rôtis dans l’assiette
Ou encore, croyez-moi, c’est bien cela le pire
Pour gâter les toutous de certaines mauviettes.
En pâtée, en croquettes, en nourriture vulgaire.
Voyez, j’aime les bovins, mais chacun a sa place
Nature par principe instaure hiérarchie
Que ne fait-on procès aux fourmis de main basse
Sur les pucerons qu’elles « traient » à l’infini?
Concernant le pauvre boeuf, je compatis sincèrement…
Bisous sages.
Mais du délicieux miel au miellat du maquis corse, malheureux, ne peut pas m’en passer, suis désolée mon ami… c’est presque comme si on te demandait de ne plus accepter les doux câlins de ta petite étoile…
Comme si me priver de tes poèmes !
Si te veux bien, je peux t’envoyer le dernier pot qu’il me reste, pour de vrai.
Bonne nuit mon pote poète.
Normal: tu n’es pas née à côté d’une étable!
bonne nuit à toi
bisous collants de miel.
Oui oui, tu as raison, suis née dedans !

Non mais, tu crois être le seul à aimer et connaitre les animaux ? Hum !
J’ai grandi avec, pas à côté… de vaches, lapins, poules, canards, oies, moutons, cochons, cheval (un seul) chiens, chats, souris, dindes… poux, puces, punaise parfois, et j’en passe !
En hiver (souvent -20°) on faisait dormir les agneau avec nous dans l’unique pièce chauffée de notre humble maison qui servait de cuisine, « salon » et chambre à coucher trois adultes et une enfant, moi… quand y’avait pas les animaux. Même un veau je me rappelle… alors, j’aime beaucoup te lire, mais parfois j’ai aussi mon mot à dire, na !
Mon tout doux poète, passez avec madame la poétesse une belle fin de semaine, fait encore bon, profitons. Bisous adoucissants.
Ah, oublié, y’avait aussi des pigeons, voyageurs on les appelait. Voila.
Oh! Pardon! Je vois que nous avons connu le même type de jeunesse.
Nous n’évaluons pas les choses de la même manière…
Pour le fameux bœuf, la fondation Brigitte Bardot a du reconnaître que:
1) il n’est enfermé que le temps du spectacle et retourne chaque soir dans sa ferme
2) qu’aucun produit toxique ne lui est projeté contre les prétendues projections de peinture
3)qu’il est employé avec l’approbation de tous les services vétérinaires et autres;
Bon week end à toi
bisous calmants.
Désolée suis, savait pas de quoi tu parlais…
Merci !