J’ai rencontré Mélusine
Sur un parking de magasin
M’a parlé comme une copine
A enchanté mon matin.
Elle était en fée suprême
Puisque nous étions mardi
A apprécié mes poèmes
Me suis senti enhardi.
M’a parlé de sa queue de sirène
Celle qu’elle porte dans les cuves
Chaque heure en fin de semaine
Ou parfois au pédiluve
Quand elle va à la piscine…
Sur un parking à Voiron
J’ai rencontré Mélusine
Et je me sentais Raymond*
*Voir « mon salon à moi de l’agriculture rayon fromage » 18/2 /2011
*Tu peux toujours rêver…
Je porte
Doucement
Au bord
De tes yeux
Le rêve joli
Chut!…
Les mots
S’enlacent
Dans le ciel
Que tu regardes
Et moi…
Je souris
Car je sais
Que tu vois
Ce qui ne se voit
Rêve, songe
Aux let très
Qui cheminent
Sur l’ourlet
De tes levers
Douce soirée mon Poète
Bisous très doux
A bientot
joli ton rêve GP…. il va peut être se réaliser
bises et belle journée
joelle
Gérard, bonjour
Me voici rentré de ma villégiature en Corrèze.
Durant cet intervalle je n’ouvre pas l’ordinateur, par principe, considérant
que lui aussi a droit à quelque repos.
Je constate que, durant le mois d’août, tu as été créatif.
Je viens de lire, avec intérêt, ta production.
Je constate aussi que Mélusine t’a requinqué après tes coups de châleur.
J’espère qu’elle ne t’a pas mis sur la paille, tous contes fées.
Amitiés.
@Julie: mais ce n’était peut-être pas un rêve…
Bisous
@Ozy: Une jolie fée qui avoue qu’à chaque fois qu’elle se trouve dans l’eau, elle revêt une queue de sirène… Qui cela peut-il être, sinon Mélusine?
@Rêveuse bleue:
Tu sais transformer les instants ordinaires en de merveilleuses portions d’Eden!
Merci!
Bisous très doux.
@Renaud: mes textes légers sont loin d’égaler tes poèmes.
De la part de Mélusine on aurait pu s’attendre à ce qu’elle m’entraîne au profond des eaux… Je ne sais pas nager…
Amitiés