Contrairement à mes habitudes
_Des principes de paysans _
Je ne me couche pas dans le champ
Qui reçoit ma sollicitude.
Ce serait être un fainéant,
Un bon à rien par la paresse:
Se coucher quand travail presse
Quel déshonneur assurément!
Pourtant il y a quelques jours
Sentant mes jambes flageoler
Je me suis d’abord affalé
Sur le tas de foin du jour,
Il faisait, pour moi, trop chaud
Mes yeux un moment se sont clos.
Quand j’ai retrouvé mes esprits
On me cherchait un peu partout:
Des promeneurs cherchaient avis
Pour garer leur tas de boue.
Jusque là, un peu de honte,
Mais j’avais, huit jours plus tôt
Sur la grande route qui monte
Rouvert les yeux juste assez tôt.
J’en déduis que sans ma sieste
Je risque un dangereux dodo.
A réfléchir, il ne me reste
Qu’à dormir quand il fait chaud.
Fais dodo tout doux poète… fais dodo et reviens-nous tout frais et en forme pour la entrée Bisous et bon dimanche.
Bisous et bon dimanche Julie.
Ô mon Poète
Ne prends de risque
Avec le temps
Le soleil est Ami
Mais il lui faut offrir
Une sieste fraîche
De bleus rêves jolis
Une brise sur tes yeux
Pour caresser l’instant
Où le ciel desdîner à
Le soupir de mes mots
Prends soin de Toi
Je tiens à Toi hein..
Doux bisous tendrement bleutés
un réflexe de sagesse… à tous les âges note bien
bises GP bonne soirée
joelle
@rêveuse bleue: je crois que tu as tout compris…
C’est bon: je t’enverrai en secret de multiples bisous à l’heure de la sieste.
Bisous très doux.
@Ozy: Oui: je serais désolé de blesser ou tuer quelqu’un…
Heureusement pour cette fois, le tracteur en face a eu le temps de klaxonner, et moi celui de donner un coup de volant. Les policiers, juste derrière, m’ont escorté jusqu’à une gare et m’ont gardé le temps de reprendre mes esprits…
Bises