Elle se glissait près de ma voiture
D’un air on ne peut plus décidé
Avec grande désinvolture
Je lui déclarai spontané:
« Toujours ouvrir la portière
Pour se jeter dans mes bras »
Elle arrêta sa course fière
Pour tendre l’oreille à l’appat.
Je lui offris trois poèmes
L’un après l’autre, coup sur coup
Ce fut un des moments que j’aime
Ce fut un moment très doux.
Tendre la Vie
Au sourire
Là, sans bruit
Que mes yeux
De bleu rêveur
Écoute le souffle
Des lettres belles
Vivre…
Douce journée mon Poète
Bon…Tu commences à me manquer
Doux bisoud
elle a du être ravie la dame….. cela n’arrive pas tous les jours trois poèmes d’un coup … fichtre !!
@rêveuse bleue:
La douceur de tes poèmes me manque aussi!
Bisous par milliers pour rattraper le retard.
@Ozy: Bien sûr!
Ce n’est pas le cas pour toutes…